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terça-feira, 5 de agosto de 2025

O Retorno dos Heróis A Missão Marchand - 1899 Fashoda Incident

 




 

 

O Retorno dos Heróis
A Missão Marchand - 1899

Entre 1896 e 1899, doze europeus e 150 fuzileiros percorreram 6.000 quilômetros a pé para conectar a costa do Congo ao Nilo Branco, no Sudão. Esta missão Congo-Nilo, ou Marchand, em homenagem ao seu comandante, marcou um dos maiores épicos da conquista colonial, mas terminou em desastre diplomático, pois a França foi forçada a ceder às ambições britânicas e evacuar o posto de Fashoda para evitar a guerra.

Retornando à França como heróis, a equipe, repleta de honrarias, teve sua fotografia tirada antes de sua dispersão. A maioria desses oficiais seguiria carreiras brilhantes até a Primeira Guerra Mundial, inclusive.

https://www.military-photos.com/fachoda.htm

gravado e copiado e repassado

https://archive.li/UBYK 

Le retour des héros
Les cadres de la mission Marchand - 1899

Entre 1896 et 1899, douze européens et 150 tirailleurs effectuent 6.000 kilometres à pied pour relier la côte du Congo jusqu'au  Nîl blanc au Soudan. Cette mission Congo-Nîl, ou Marchand du nom de son commandant, trace l'une des plus belles épopée de la conquête coloniale, mais se termine en désastre diplomatique puisque la France doit céder devant les ambitions britanniques et évacuer le poste de Fachoda pour éviter la guerre.

Revenus en France en héros, l'équipe couverte d'honneurs se fait photographier avant sa dispersion. La plupart de ces officiers effecturont une brillante carrière jusque et y compris durant la première guerre mondiale.




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LA VIE ILLUSTRÉE 15  Y



se destinent, eux aussi, à la vie coloniale, Auguste Mar
chand, commis des affaires indigènes au Soudan, qui
vient d’être élevé à la pre mière classe et Constant
Marchand, âgé de quinze ans, seulement, élevé à l’E
cole de la Seyne, et qui se prépare à l’Ecole Navale. Au
près du père, demeure seule ment la sœur du commandant
qui se renseigne avec l’intérêt qu’on devine sur les événe
ments d’Afrique. Nulle part plus que dans le village de
Thoissey on ne compte sur l’énergie de M. Delcassé.
Espérons que, suivant le vœu de ces braves gens, nous
ne renoncerons pas, sur les injonctions de l’Angleterre,
aux résultats d’un si beau voyage. Ce fut, en effet, au
prix des efforts les plus pé-
Auguste Marchand

LA MISSION MARCHAND

Un ministre des colonies trop pressé proclamait, il y a deux ans, qu’en
Afrique la « période héroïque » était close. Les dernières nouvelles venues
du continent noir lui donnent un éclatant démenti. Jamais peut-être notre
histoire coloniale n’a enregistré en un temps aussi court des événements
aussi sensationnels que pendant ces derniers mois : la prise de la ville de
Sikasso qui se défendit comme Saragosse, le massacre de la
mission Cazemajou sur la route du lac Tchad, l’arrivée de
M. Gentil sur les bords de ce lac hier encore mystérieux,
la reprise de Khartoum par les Anglo-Egyptiens et plus
récemment encore, —en même temps que la capture
de notre ennemi Samory en Afrique occidentale, —
l’installation d’un poste français sur le Haut-Nil.
L’opinion publique s’est avec raison passionnée
pour ce dernier événement qui mérite de prendre
place parmi les plus prodigieux exploits de la
conquête de l’Afrique. Le nom du comman
dant Marchand et de ses compagnons a acquis
soudain une popularité qui révèle en nous le
culte toujours très assidu des grands voyages
et des belles aventures.
Certes, le petit clerc de notaire qui, en 1881,
suivait avec passion, sur des cartes dissimulées
parmi les dossiers de M Blondel, de Thoissey
(Ain), les opérations du général Brière de
l'Isle, — ce petit clerc ne se doutait pas
qu’un jour toute la France coloniale suivrait
sa marche avec un intérêt presque aussi vif. Ce
clerc, nommé Jean-Baptiste Marchand, était fils

d’un fort brave homme, menuisier de son état.
Placé comme externe au collège de Thoissey, il y 1
resta peu de temps et à quinze ans entra comme petit
clerc en l’étude de Me Blondel. A dix-huit ans, exalté

M. Marchand père.

par les récits de la campagne du
Tonkin, il voulut s’engager
dans cette infanterie de marine
qui faisait tant parler de ses
explu its. Sa mère, morte depuis,

nibles que Marchand parvint attaché aux Affaires indigènes au Soudan
à planter notre drapeau sur
le Nil, en partant de l’Océan Atlantique, c’est-à-dire en faisant à travers
l’Afrique centrale un parcours de 3.000 kilomètres. Heureusement, au Sou
dan et à la Côte-d’Ivoire où il a conquis tous ses grades, il avait appris à
l’école du général Archinard et du colonel Combes à triompher des mille
obstacles que l’Européen trouve devant lui en Afrique Ses camarades, les
capitaines Baratier et Germain, les lieutenants Mangin et Largeau, l’en
seigne de vaisseau Dyé, le docteur Emily, l’interprète Landeroin étaient
pour la plupart des Africains et des Soudanais comme lui et
comment douter du succès de pareils hommes, dont le chef
nous écrivait en ces termes pour démentir les bruits
fâcheux répandus sur la mission ? « Je pense bien, écrivait-
il, que vous n’avez pas cru un instant les potins repré
sentant la mission comme arrêtée, les membres euro
péens sur le flanc, les indigènes désertant, le chef
brisé par la fièvre obligé de passer la main. On
oubliait donc que le chef, les officiers, les Euro
péens et les indigènes sont tous des Soudanais
élevés à une rude école et un rude climat après
lesquels le reste de l’Afrique n’offre plus
d’obstacles vraiment sérieux. J’ai failli mou
rir deux fois, c’est exact, une première à
Loudima et ensuite à Brazzaville, mais cela,
comme les fois qui vont suivre, ne constitue
qu’à peine des incidents de route, je ne sais
plus trop dans quel coin d’Afrique je n’ai pas
encore failli rester et j’ai tellement l’habitude
de mourir que ni moi ni mes camarades ne
prenons plus ça au sérieux depuis longtemps.
Le boulevard est bien plus dangereux en hiver
avec les bronchites et en été avec les chutes de
cheminées... et vous ne pouvez pas comme nous,
boire à discrétion la bonne eau pure du vieux Nil à ses
sources extrêmes, à même les cascades chantantes et
les imposantes cataractes... »

Le commandant Marchand.

s’y opposa nettement et ce fut à l’âge de vingt
ans s . a.ement que Marchand quitta le paisible
villag le Thoissey et les dossiers poudreux
de Me Blondel pour s’engager dans l’infanterie
de marine.
Aujourd’hui les habitants de Thoissey sont
fiers de la carrière brillante de leur jeune com
patriote, officier de la Légion d’honneur et chef
de bataillon à trente-cinq ans. Et quand le
père Marchand va fumer sa pipe avec les vieux
du village sur le devant de sa boutique, il est
bien vite entouré par les habitants. S’il ne dis
simule pas la joie que lui cause l’occupation de
Fashoda par le commandant, le père Mar
chand, bien souvent aussi, évoque le souvenir
de son second fils, Pétrus Marchand, maré
chal des logis d’artillerie de marine qui mou
rut il y a trois ans d’une insolation au retour
de Tombouctou, à Bafoulabé, dans ce Soudan
où il allait conquérir ses galons comme son
frère aîné. Marchand a deux autres frères qui

M’Bomou

Il fallait un «difficultés. La principale consis
tait à faire passer de l’Oubanghi dans le bassin du

moral » aussi solide pour triompher des

Bahr-el-Ghazal, affluent du Nil, la canonnière Faidherbe et les
chalands sur lesquels la mission remontant le Congo, l’Oubanghi
et le M’Bomou, était parvenue, grâce au concours de M. Lio-
tard, à la ligne de partage des eaux entre le bassin du Congo
et celui du Nil. Heureusement, par une chance incroyable, la
mission découvrit dans le Haut- M’Bomou un bief navigable de
700 kilomètres qui lui permit de porter ses bateaux jusqu’à
70 kilomètres de Tamboura. Par la carte ci-jointe qui est
de la main même du comman dant Marchand, on se rend
compte de l’importance de cette découverte géographique. Pour

Pétrus Marchand, mort à Bafoulabé. 

 

Onde , in

 La Vie illustrée : journal hebdomadaire
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t511996868/f3.item

Missão Marchand

Titre :  La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Éditeur  :  Juven (Paris)
Date d'édition :  1898-10-27
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32889048v
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Description :  27 octobre 1898
Description :  1898/10/27 (A1,N2).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bd6t511996868
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-794
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  11/06/2023

Fashoda Incident

https://en.wikipedia.org/wiki/Fashoda_Incident 

 IA

The Egyptian fort at Fashoda was a strategic outpost established in 1855 by the Egyptian army to combat the East African slave trade. It was located on high ground along the Nile River, a rare spot where boats could unload. By the 1870s, it had become a bustling market and administrative center. During the Fashoda Incident of 1898, a French expeditionary force under Marchand occupied the fort, which was then in ruins, leading to a tense confrontation with a British force led by Kitchener. 
Here's a more detailed breakdown:

    Purpose:
    The fort was originally built to control the slave trade and provide a base for Egyptian forces. 

Location:
Situated in a swampy area on the Nile, it was strategically important due to its location on high ground and ability to unload boats. 
Importance:
By the 1870s, it was a significant trading center, attracting European explorers. 
Fashoda Incident:
The incident involved a confrontation between French and British forces over control of the fort, which had been established by the Egyptians. 
French Occupation:
Marchand's expedition arrived first, finding the fort in ruins but still claiming it for France. 
British Arrival:
Kitchener's British-led force arrived later, also claiming the fort, leading to a tense standoff. 
Resolution:
The incident was resolved diplomatically, with both sides agreeing to fly their flags over the fort and ultimately leading to a French withdrawal

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observação:

"Fashoda syndrome" ridículo.

pergunta que não cala e a dominação Britanica no lugar também é considerado uma doença?

pode ser que sim então sejamos honestos.

O mundo sendo mundo ou seja cretinos. Dividiram a Africa, e guerrearam para isto. Perguntaram aos locais se era isso que eles queriam? Ou somente, dinheiro dinheiro dinheiro, provavelmente somente o último, o capital mandou. 

 

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 introduction


By 1890, Europeans had established their claims to all of Africa's coastal land except for Morocco (independent) and Liberia (independent under USA protection). Ethiopia remained independent in the East African interior, as did the two Boer Republics and a few African states in South Africa. The major European powers threatened them all as they continued to stake claims and try to divide up whatever was left of Africa. The biggest remaining
prize was the Congo basin, which received special status at the Congress of Berlin as the "Congo Free State." It was administered by an international association headed by King Leopold II of Belgium, a country whose neutrality was guaranteed by the 1839 treaty that created it. The other major unclaimed region was in the Upper Nile River Valley (modern Sudan and Uganda).


Attention on those areas was focused by two rival imperial schemes. The British imagined an African empire that stretched from Capetown in the south to Cairo in the north. Even though the creation of German East África (modern Tanzania, Burundi & Rwanda) and the Congo Free State seemed to block the way, the idea remained a potent tool for British politicians who wanted to drum up domestic support for imperial expansion. French imperialists had their own dreams of a trans-African empire that reached from Dakar (Senegal) in the west to
Djibouti (on the Red Sea) in the east. But the two dreams were incompatible, since they had to cross somewhere. Only one country could expect to get its way, so as long as both continued to seek a trans-African empire, conflict was inevitable.


British efforts to reach the Upper Nile Valley began with the expedition to relieve Gordon and his Egyptian garrison at Khartoum in 1885. The effort failed and the Upper Nile
Valley remained in a state of rebellion for the next decade. By 1895, all that remained of Egyptian authority in the Upper Nile Valley was a British post on the Red Sea
at Suarkin and an Egyptian garrison in the province of Equatoria, far to the south near Kenya. Meanwhile, the French remained angry over the British occupation of Egypt in 1882 and refusal to honor a promise to withdraw once order was restored. In February
1895 a member of the French parliament and leader of the "pro-colonial" faction urged his colleagues to approve an advance towards the Nile from its southern end
unless the British withdrew. When news of the French interest reached Great Britain, a member of parliament declared a month later that the entire Nile Valley belonged to the British. By the end of the year, the race was on to see which Europeans would be first to claim the Upper Nile Valley


The Italians got a head start from their Eritrean outpost at Massawa on the Red Sea, but their defeat by the Ethiopians at Adowa in March 1896 ended their attempt. In September 1896, King Leopold, the official leader of the Congo Free State, dispatched a huge column of 5,000 Congolese troops equipped with artillery towards the White Nile River from Stanleyville on the Upper Congo River. They took five months to reach Lake Albert on the
White Nile, about five hundred miles from Fashoda, but by then, their soldiers were so angry at their pace and treatment that they mutinied on March 18, 1897. Many of the Belgian officers were killed and the rest were forced to flee.



Introdução


Em 1890, os europeus haviam estabelecido suas reivindicações sobre todas as terras costeiras da África, exceto Marrocos (independente)e Libéria (independente sob proteção dos EUA). A Etiópia permaneceu independente no interior da África Oriental, assim como as duas Repúblicas Bôeres e alguns estados africanos na África do Sul. As principais potências europeias ameaçaram todos eles, continuando a reivindicar e tentando dividir o que restava da África. O maior prêmio restante era a bacia do Congo, que recebeu status especial no Congresso de Berlim como o "Estado Livre do Congo". Era administrada por uma associação internacional liderada pelo Rei Leopoldo II da Bélgica, um país cuja neutralidade era garantida pelo tratado de 1839 que a criou. A outra grande região não reivindicada ficava no
Vale do Alto Rio Nilo (atual Sudão e Uganda).

A atenção nessas áreas foi focada por dois planos imperiais rivais. Os britânicos imaginaram um império africano que se estendia da Cidade do Cabo, ao sul, até o Cairo, ao norte. Embora a criação da África Oriental Alemã (atual Tanzânia, Burundi e Ruanda) e do Estado Livre do Congo parecessem bloquear o caminho, a ideia permaneceu uma ferramenta poderosa para os políticos britânicos que queriam angariar apoio interno para a expansão imperial. Os imperialistas franceses tinham seus próprios sonhos de um império transafricano que se estendesse de Dacar (Senegal), a oeste, até Djibuti (no Mar Vermelho), a leste. Mas os dois sonhos eram incompatíveis, pois precisavam cruzar algum lugar. Apenas um país poderia esperar conseguir o que queria, então, enquanto continuassem a buscar um império transafricano, o conflito era inevitável.


Os esforços britânicos para alcançar o Vale do Alto Nilo começaram com a expedição para socorrer Gordon e sua guarnição egípcia em Cartum, em 1885. O esforço fracassou e o Vale do Alto Nilo permaneceu em estado de rebelião pela década seguinte. Em 1895, tudo o que restava da autoridade egípcia no Vale do Alto Nilo era um posto britânico no Mar Vermelho em Suarkin e uma guarnição egípcia na província de Equatória, bem ao sul, perto do Quênia. Enquanto isso, os franceses permaneciam irritados com a ocupação britânica do Egito em 1882 e com a recusa em honrar a promessa de retirada assim que a ordem fosse restaurada. Em fevereiro de 1895, um membro do parlamento francês e líder da facção "pró-colonial" instou seus colegas a aprovar um avanço em direção ao Nilo a partir de sua extremidade sul, a menos que os britânicos com Drew. Quando a notícia do interesse francês chegou à Grã-Bretanha, um membro do parlamento declarou, um mês depois, que todo o Vale do Nilo pertencia aos britânicos. No final do ano, a corrida começou para ver quais europeus seriam os primeiros a reivindicar o Vale do Alto Nilo.


Os italianos saíram na frente de seu posto avançado eritreo em Massawa, no Mar Vermelho, mas a derrota para os etíopes em Adowa, em março de 1896, pôs fim à sua tentativa. Em setembro de 1896, o Rei Leopoldo, líder oficial do Estado Livre do Congo, despachou uma enorme coluna de 5.000 soldados congoleses equipados com artilharia em direção ao Rio Nilo Branco, partindo de Stanleyville, no Alto Rio Congo. Levaram cinco meses para chegar ao Lago Alberto, no Nilo Branco, a cerca de 800 quilômetros de Fashoda, mas, a essa altura, seus soldados estavam tão irritados com o ritmo e o tratamento que se amotinaram em 18 de março de 1897. Muitos oficiais belgas foram mortos e os demais foram forçados a fugir.

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rld History The Fashoda Incident
mrtredinnick.com
https://www.mrtredinnick.com › uploads › the_fas...
PDF
de J Jones · Citado por 3 — By 1895, all that remained of Egyptian authority in the Upper Nile Valley was a British post on the Red Sea at Suarkin and an Egyptian garrison in the province . 

in https://www.mrtredinnick.com/uploads/7/2/1/5/7215292/the_fashoda_incident.pdf 

 

Le Petit journal. Supplément du dimanche 

"Le Petit Journal " 28 mai 1899

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32836564q/date1889

Titre :  Le Petit journal. Supplément du dimanche
Éditeur  :  [s.n.] (Paris)
Date d'édition :  1899-05-28
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32836564q
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Format :  Nombre total de vues : 13737
Description :  28 mai 1899
Description :  1899/05/28 (Numéro 445).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bpt6k7163321
Source  :  Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  06/02/2011

 

 La_Vie_illustrée___journal_[...]_bd6t511996868_0005




 


 


 

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