terça-feira, 5 de agosto de 2025

O Retorno dos Heróis A Missão Marchand - 1899 Fashoda Incident

 




 

 

O Retorno dos Heróis
A Missão Marchand - 1899

Entre 1896 e 1899, doze europeus e 150 fuzileiros percorreram 6.000 quilômetros a pé para conectar a costa do Congo ao Nilo Branco, no Sudão. Esta missão Congo-Nilo, ou Marchand, em homenagem ao seu comandante, marcou um dos maiores épicos da conquista colonial, mas terminou em desastre diplomático, pois a França foi forçada a ceder às ambições britânicas e evacuar o posto de Fashoda para evitar a guerra.

Retornando à França como heróis, a equipe, repleta de honrarias, teve sua fotografia tirada antes de sua dispersão. A maioria desses oficiais seguiria carreiras brilhantes até a Primeira Guerra Mundial, inclusive.

https://www.military-photos.com/fachoda.htm

gravado e copiado e repassado

https://archive.li/UBYK 

Le retour des héros
Les cadres de la mission Marchand - 1899

Entre 1896 et 1899, douze européens et 150 tirailleurs effectuent 6.000 kilometres à pied pour relier la côte du Congo jusqu'au  Nîl blanc au Soudan. Cette mission Congo-Nîl, ou Marchand du nom de son commandant, trace l'une des plus belles épopée de la conquête coloniale, mais se termine en désastre diplomatique puisque la France doit céder devant les ambitions britanniques et évacuer le poste de Fachoda pour éviter la guerre.

Revenus en France en héros, l'équipe couverte d'honneurs se fait photographier avant sa dispersion. La plupart de ces officiers effecturont une brillante carrière jusque et y compris durant la première guerre mondiale.




==============================================

LA VIE ILLUSTRÉE 15  Y



se destinent, eux aussi, à la vie coloniale, Auguste Mar
chand, commis des affaires indigènes au Soudan, qui
vient d’être élevé à la pre mière classe et Constant
Marchand, âgé de quinze ans, seulement, élevé à l’E
cole de la Seyne, et qui se prépare à l’Ecole Navale. Au
près du père, demeure seule ment la sœur du commandant
qui se renseigne avec l’intérêt qu’on devine sur les événe
ments d’Afrique. Nulle part plus que dans le village de
Thoissey on ne compte sur l’énergie de M. Delcassé.
Espérons que, suivant le vœu de ces braves gens, nous
ne renoncerons pas, sur les injonctions de l’Angleterre,
aux résultats d’un si beau voyage. Ce fut, en effet, au
prix des efforts les plus pé-
Auguste Marchand

LA MISSION MARCHAND

Un ministre des colonies trop pressé proclamait, il y a deux ans, qu’en
Afrique la « période héroïque » était close. Les dernières nouvelles venues
du continent noir lui donnent un éclatant démenti. Jamais peut-être notre
histoire coloniale n’a enregistré en un temps aussi court des événements
aussi sensationnels que pendant ces derniers mois : la prise de la ville de
Sikasso qui se défendit comme Saragosse, le massacre de la
mission Cazemajou sur la route du lac Tchad, l’arrivée de
M. Gentil sur les bords de ce lac hier encore mystérieux,
la reprise de Khartoum par les Anglo-Egyptiens et plus
récemment encore, —en même temps que la capture
de notre ennemi Samory en Afrique occidentale, —
l’installation d’un poste français sur le Haut-Nil.
L’opinion publique s’est avec raison passionnée
pour ce dernier événement qui mérite de prendre
place parmi les plus prodigieux exploits de la
conquête de l’Afrique. Le nom du comman
dant Marchand et de ses compagnons a acquis
soudain une popularité qui révèle en nous le
culte toujours très assidu des grands voyages
et des belles aventures.
Certes, le petit clerc de notaire qui, en 1881,
suivait avec passion, sur des cartes dissimulées
parmi les dossiers de M Blondel, de Thoissey
(Ain), les opérations du général Brière de
l'Isle, — ce petit clerc ne se doutait pas
qu’un jour toute la France coloniale suivrait
sa marche avec un intérêt presque aussi vif. Ce
clerc, nommé Jean-Baptiste Marchand, était fils

d’un fort brave homme, menuisier de son état.
Placé comme externe au collège de Thoissey, il y 1
resta peu de temps et à quinze ans entra comme petit
clerc en l’étude de Me Blondel. A dix-huit ans, exalté

M. Marchand père.

par les récits de la campagne du
Tonkin, il voulut s’engager
dans cette infanterie de marine
qui faisait tant parler de ses
explu its. Sa mère, morte depuis,

nibles que Marchand parvint attaché aux Affaires indigènes au Soudan
à planter notre drapeau sur
le Nil, en partant de l’Océan Atlantique, c’est-à-dire en faisant à travers
l’Afrique centrale un parcours de 3.000 kilomètres. Heureusement, au Sou
dan et à la Côte-d’Ivoire où il a conquis tous ses grades, il avait appris à
l’école du général Archinard et du colonel Combes à triompher des mille
obstacles que l’Européen trouve devant lui en Afrique Ses camarades, les
capitaines Baratier et Germain, les lieutenants Mangin et Largeau, l’en
seigne de vaisseau Dyé, le docteur Emily, l’interprète Landeroin étaient
pour la plupart des Africains et des Soudanais comme lui et
comment douter du succès de pareils hommes, dont le chef
nous écrivait en ces termes pour démentir les bruits
fâcheux répandus sur la mission ? « Je pense bien, écrivait-
il, que vous n’avez pas cru un instant les potins repré
sentant la mission comme arrêtée, les membres euro
péens sur le flanc, les indigènes désertant, le chef
brisé par la fièvre obligé de passer la main. On
oubliait donc que le chef, les officiers, les Euro
péens et les indigènes sont tous des Soudanais
élevés à une rude école et un rude climat après
lesquels le reste de l’Afrique n’offre plus
d’obstacles vraiment sérieux. J’ai failli mou
rir deux fois, c’est exact, une première à
Loudima et ensuite à Brazzaville, mais cela,
comme les fois qui vont suivre, ne constitue
qu’à peine des incidents de route, je ne sais
plus trop dans quel coin d’Afrique je n’ai pas
encore failli rester et j’ai tellement l’habitude
de mourir que ni moi ni mes camarades ne
prenons plus ça au sérieux depuis longtemps.
Le boulevard est bien plus dangereux en hiver
avec les bronchites et en été avec les chutes de
cheminées... et vous ne pouvez pas comme nous,
boire à discrétion la bonne eau pure du vieux Nil à ses
sources extrêmes, à même les cascades chantantes et
les imposantes cataractes... »

Le commandant Marchand.

s’y opposa nettement et ce fut à l’âge de vingt
ans s . a.ement que Marchand quitta le paisible
villag le Thoissey et les dossiers poudreux
de Me Blondel pour s’engager dans l’infanterie
de marine.
Aujourd’hui les habitants de Thoissey sont
fiers de la carrière brillante de leur jeune com
patriote, officier de la Légion d’honneur et chef
de bataillon à trente-cinq ans. Et quand le
père Marchand va fumer sa pipe avec les vieux
du village sur le devant de sa boutique, il est
bien vite entouré par les habitants. S’il ne dis
simule pas la joie que lui cause l’occupation de
Fashoda par le commandant, le père Mar
chand, bien souvent aussi, évoque le souvenir
de son second fils, Pétrus Marchand, maré
chal des logis d’artillerie de marine qui mou
rut il y a trois ans d’une insolation au retour
de Tombouctou, à Bafoulabé, dans ce Soudan
où il allait conquérir ses galons comme son
frère aîné. Marchand a deux autres frères qui

M’Bomou

Il fallait un «difficultés. La principale consis
tait à faire passer de l’Oubanghi dans le bassin du

moral » aussi solide pour triompher des

Bahr-el-Ghazal, affluent du Nil, la canonnière Faidherbe et les
chalands sur lesquels la mission remontant le Congo, l’Oubanghi
et le M’Bomou, était parvenue, grâce au concours de M. Lio-
tard, à la ligne de partage des eaux entre le bassin du Congo
et celui du Nil. Heureusement, par une chance incroyable, la
mission découvrit dans le Haut- M’Bomou un bief navigable de
700 kilomètres qui lui permit de porter ses bateaux jusqu’à
70 kilomètres de Tamboura. Par la carte ci-jointe qui est
de la main même du comman dant Marchand, on se rend
compte de l’importance de cette découverte géographique. Pour

Pétrus Marchand, mort à Bafoulabé. 

 

Onde , in

 La Vie illustrée : journal hebdomadaire
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t511996868/f3.item

Missão Marchand

Titre :  La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Éditeur  :  Juven (Paris)
Date d'édition :  1898-10-27
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32889048v
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Description :  27 octobre 1898
Description :  1898/10/27 (A1,N2).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bd6t511996868
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-794
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  11/06/2023

Fashoda Incident

https://en.wikipedia.org/wiki/Fashoda_Incident 

 IA

The Egyptian fort at Fashoda was a strategic outpost established in 1855 by the Egyptian army to combat the East African slave trade. It was located on high ground along the Nile River, a rare spot where boats could unload. By the 1870s, it had become a bustling market and administrative center. During the Fashoda Incident of 1898, a French expeditionary force under Marchand occupied the fort, which was then in ruins, leading to a tense confrontation with a British force led by Kitchener. 
Here's a more detailed breakdown:

    Purpose:
    The fort was originally built to control the slave trade and provide a base for Egyptian forces. 

Location:
Situated in a swampy area on the Nile, it was strategically important due to its location on high ground and ability to unload boats. 
Importance:
By the 1870s, it was a significant trading center, attracting European explorers. 
Fashoda Incident:
The incident involved a confrontation between French and British forces over control of the fort, which had been established by the Egyptians. 
French Occupation:
Marchand's expedition arrived first, finding the fort in ruins but still claiming it for France. 
British Arrival:
Kitchener's British-led force arrived later, also claiming the fort, leading to a tense standoff. 
Resolution:
The incident was resolved diplomatically, with both sides agreeing to fly their flags over the fort and ultimately leading to a French withdrawal

==============================================

observação:

"Fashoda syndrome" ridículo.

pergunta que não cala e a dominação Britanica no lugar também é considerado uma doença?

pode ser que sim então sejamos honestos.

O mundo sendo mundo ou seja cretinos. Dividiram a Africa, e guerrearam para isto. Perguntaram aos locais se era isso que eles queriam? Ou somente, dinheiro dinheiro dinheiro, provavelmente somente o último, o capital mandou. 

 

======================================= 

 introduction


By 1890, Europeans had established their claims to all of Africa's coastal land except for Morocco (independent) and Liberia (independent under USA protection). Ethiopia remained independent in the East African interior, as did the two Boer Republics and a few African states in South Africa. The major European powers threatened them all as they continued to stake claims and try to divide up whatever was left of Africa. The biggest remaining
prize was the Congo basin, which received special status at the Congress of Berlin as the "Congo Free State." It was administered by an international association headed by King Leopold II of Belgium, a country whose neutrality was guaranteed by the 1839 treaty that created it. The other major unclaimed region was in the Upper Nile River Valley (modern Sudan and Uganda).


Attention on those areas was focused by two rival imperial schemes. The British imagined an African empire that stretched from Capetown in the south to Cairo in the north. Even though the creation of German East África (modern Tanzania, Burundi & Rwanda) and the Congo Free State seemed to block the way, the idea remained a potent tool for British politicians who wanted to drum up domestic support for imperial expansion. French imperialists had their own dreams of a trans-African empire that reached from Dakar (Senegal) in the west to
Djibouti (on the Red Sea) in the east. But the two dreams were incompatible, since they had to cross somewhere. Only one country could expect to get its way, so as long as both continued to seek a trans-African empire, conflict was inevitable.


British efforts to reach the Upper Nile Valley began with the expedition to relieve Gordon and his Egyptian garrison at Khartoum in 1885. The effort failed and the Upper Nile
Valley remained in a state of rebellion for the next decade. By 1895, all that remained of Egyptian authority in the Upper Nile Valley was a British post on the Red Sea
at Suarkin and an Egyptian garrison in the province of Equatoria, far to the south near Kenya. Meanwhile, the French remained angry over the British occupation of Egypt in 1882 and refusal to honor a promise to withdraw once order was restored. In February
1895 a member of the French parliament and leader of the "pro-colonial" faction urged his colleagues to approve an advance towards the Nile from its southern end
unless the British withdrew. When news of the French interest reached Great Britain, a member of parliament declared a month later that the entire Nile Valley belonged to the British. By the end of the year, the race was on to see which Europeans would be first to claim the Upper Nile Valley


The Italians got a head start from their Eritrean outpost at Massawa on the Red Sea, but their defeat by the Ethiopians at Adowa in March 1896 ended their attempt. In September 1896, King Leopold, the official leader of the Congo Free State, dispatched a huge column of 5,000 Congolese troops equipped with artillery towards the White Nile River from Stanleyville on the Upper Congo River. They took five months to reach Lake Albert on the
White Nile, about five hundred miles from Fashoda, but by then, their soldiers were so angry at their pace and treatment that they mutinied on March 18, 1897. Many of the Belgian officers were killed and the rest were forced to flee.



Introdução


Em 1890, os europeus haviam estabelecido suas reivindicações sobre todas as terras costeiras da África, exceto Marrocos (independente)e Libéria (independente sob proteção dos EUA). A Etiópia permaneceu independente no interior da África Oriental, assim como as duas Repúblicas Bôeres e alguns estados africanos na África do Sul. As principais potências europeias ameaçaram todos eles, continuando a reivindicar e tentando dividir o que restava da África. O maior prêmio restante era a bacia do Congo, que recebeu status especial no Congresso de Berlim como o "Estado Livre do Congo". Era administrada por uma associação internacional liderada pelo Rei Leopoldo II da Bélgica, um país cuja neutralidade era garantida pelo tratado de 1839 que a criou. A outra grande região não reivindicada ficava no
Vale do Alto Rio Nilo (atual Sudão e Uganda).

A atenção nessas áreas foi focada por dois planos imperiais rivais. Os britânicos imaginaram um império africano que se estendia da Cidade do Cabo, ao sul, até o Cairo, ao norte. Embora a criação da África Oriental Alemã (atual Tanzânia, Burundi e Ruanda) e do Estado Livre do Congo parecessem bloquear o caminho, a ideia permaneceu uma ferramenta poderosa para os políticos britânicos que queriam angariar apoio interno para a expansão imperial. Os imperialistas franceses tinham seus próprios sonhos de um império transafricano que se estendesse de Dacar (Senegal), a oeste, até Djibuti (no Mar Vermelho), a leste. Mas os dois sonhos eram incompatíveis, pois precisavam cruzar algum lugar. Apenas um país poderia esperar conseguir o que queria, então, enquanto continuassem a buscar um império transafricano, o conflito era inevitável.


Os esforços britânicos para alcançar o Vale do Alto Nilo começaram com a expedição para socorrer Gordon e sua guarnição egípcia em Cartum, em 1885. O esforço fracassou e o Vale do Alto Nilo permaneceu em estado de rebelião pela década seguinte. Em 1895, tudo o que restava da autoridade egípcia no Vale do Alto Nilo era um posto britânico no Mar Vermelho em Suarkin e uma guarnição egípcia na província de Equatória, bem ao sul, perto do Quênia. Enquanto isso, os franceses permaneciam irritados com a ocupação britânica do Egito em 1882 e com a recusa em honrar a promessa de retirada assim que a ordem fosse restaurada. Em fevereiro de 1895, um membro do parlamento francês e líder da facção "pró-colonial" instou seus colegas a aprovar um avanço em direção ao Nilo a partir de sua extremidade sul, a menos que os britânicos com Drew. Quando a notícia do interesse francês chegou à Grã-Bretanha, um membro do parlamento declarou, um mês depois, que todo o Vale do Nilo pertencia aos britânicos. No final do ano, a corrida começou para ver quais europeus seriam os primeiros a reivindicar o Vale do Alto Nilo.


Os italianos saíram na frente de seu posto avançado eritreo em Massawa, no Mar Vermelho, mas a derrota para os etíopes em Adowa, em março de 1896, pôs fim à sua tentativa. Em setembro de 1896, o Rei Leopoldo, líder oficial do Estado Livre do Congo, despachou uma enorme coluna de 5.000 soldados congoleses equipados com artilharia em direção ao Rio Nilo Branco, partindo de Stanleyville, no Alto Rio Congo. Levaram cinco meses para chegar ao Lago Alberto, no Nilo Branco, a cerca de 800 quilômetros de Fashoda, mas, a essa altura, seus soldados estavam tão irritados com o ritmo e o tratamento que se amotinaram em 18 de março de 1897. Muitos oficiais belgas foram mortos e os demais foram forçados a fugir.

.

.

.

rld History The Fashoda Incident
mrtredinnick.com
https://www.mrtredinnick.com › uploads › the_fas...
PDF
de J Jones · Citado por 3 — By 1895, all that remained of Egyptian authority in the Upper Nile Valley was a British post on the Red Sea at Suarkin and an Egyptian garrison in the province . 

in https://www.mrtredinnick.com/uploads/7/2/1/5/7215292/the_fashoda_incident.pdf 

 

Le Petit journal. Supplément du dimanche 

"Le Petit Journal " 28 mai 1899

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32836564q/date1889

Titre :  Le Petit journal. Supplément du dimanche
Éditeur  :  [s.n.] (Paris)
Date d'édition :  1899-05-28
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32836564q
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Format :  Nombre total de vues : 13737
Description :  28 mai 1899
Description :  1899/05/28 (Numéro 445).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bpt6k7163321
Source  :  Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  06/02/2011

 

 La_Vie_illustrée___journal_[...]_bd6t511996868_0005




 


 


 

segunda-feira, 4 de agosto de 2025

José Augusto de Castro, Guarda – nasceu a 22 de Janeiro de 1862, Coimbra, onde morreu a 13 de Maio de 1942

 


Para a Lucta -  José Augusto de Castro - Lisboa, 1910

em :

A Águia , Portugal 15.12.1910


Surge este livro, ao povo português dedicado, numa época bem diferente daquela em que o seu autor o concebeu e trabalhou.
Livro de luta intensa e de combate, os brados de revolta que nele acesamente vibram nada perdem, todavia, da sua oportunidade, nem o seu calor menos aquece aqueles que o lêem e compreendem, solidarizando-se com o espírito revoltado do Poeta e com as suas largas e humanas aspirações de Verdade e Justiça.
Esses versos, em que, não obstante o fogo de indignação que os incendia, perpassa um emocionado sopro de piedade pelos opressos e humildes, flagelam altivamente, com a indômita irreverência dum rebelde que nenhuma transigência entibia, todas as opressões e iniquidades.
É um incitamente ás almas ainda não corrutas, impelindo-as á luta aberta e sem tréguas a todas as proteiformes encarnações da Mentira e do ódio, derrubando ídolos e desconjuntado os tronos dos Tiranos, que ao seu despotismo o homem secularmente acorrentaram, humilhando e envilecido.
Estes livros são precisos. Nas épocas críticas de desfalecimento e de descrença, quando a nacionalidade ameaçaria subverter-se, por falta de coesão cívica e pela pulverização da consciência colectiva, é necessária uma voz que desperte e abale as dormentes energias do Povo, e quem senão o Poeta poderia tal obra empreender.
Não é o Poeta, pela sua mais sensível vibratilidade, quem melhor pode compreender a alma do Povo e que mais intimamente com ela pode comunicar, concentrando na sua voz todos os clamores de justiça e todas as imprecações de Odio dos que da vida só conhecem a face dura e hostil, eternas vítimas de todas aes misérias, esmagados ao peso de todos os depotismo e escanercido spelas mais vis simulações do Direito?
O Poeta não deve isolar-se dentro da doirado torre do seu idealismo, nem deve esterilizar-se o seu sentimento nos temas gastos num emotivismo estritamente pessoas. Acorda, é o tempoQ clamava o claro espirito que o nome de Antero imortalizou.
E ao poeta que dorme, á sombra dos cedros seculares, longe do fragor da luta em que seus irmãos combatem, que ele indita, lançando-o para a solidariedade viril da refrega e dele fazendo o soldado heroico do Futuro.

     
..... E dos raios de luz do sonho puro
            Sonhador, faze espada do combate!


Não há miséria que não comova a alma do poeta que estas linhas inicialmente motiva, nem torpeza que lhe arranque os brados mais altivos de indignação. A Pátria ameaça sumir-se no abismo q que a arrasta, perante a impassível indiferença dom povo apático, a doirada coorte dos que aos seus destino lançaram a polúida e criminosa mão? Apagaram-se com repulsivos borrões de lama todas as fúlgidas glórias dum passado grande e belo? Completou  o jesuíta a obra de depressão, amarfanhando as energias vitais duma raça heroica e prostituindo as sublimidades nobilitantes do pensamento Humano.

       
 Envolvendo a Razão na mortalha da Fé- !

Choram crianças a fria miséria da sua orfandade, vagueira pela sombra mulheres, escondendo a vergonha da sua situações, ouvem-se gritos de famintos, gemidos de pobres serem que nunca conheceram o calor dum beijo ou o conchego dum lar? Há miséria luto, dor, hipocrisia ou torpeza? O Poeta ergue-se altaneito e insubmisso e da sua alma rebelde, que um sonho grandioso duma larga era de universal felicidade ilumina e aquece, irrompe.

       
 Um brado atroador de eterna maldição!

Ao Povo se dirige o Poeta, e, na verdade  só a ele vale a pena alguém dirigir-se, pois só ele conserva ainda na rudeza da sua alma incorreta a chama da fé e o entranhado ódio a mentira e as maquinações ignominiosas dos tiranos. Do Povo surgem as energias redentoras no momento decisivo da luta.


O Poeta teve ainda a felicidade de poder cantar o triunfo da República
* no mesmo livro onde impiedosamente flagelava a criminosa baixeza dum regime caracterizadamente reaccionário, que obrigada a estulta pretensão de opor-se a corrente impetuosa do Progresso. As suas palavras são todavia ainda de inditamento e de combate, pois que a obra a que o poeta aspira não está senão esboçada.
Temos de lutar constantemente, sem desfalecimento nem fáceis ilusões de triunfo, até que a liberdade não seja uma palavra vã e sobre a terra se estabeleça uma época feliz de paz e de fraternidade, norteados os homens pelos ditames da sua consciência esclçrecida e sendo a Verdade e a Justiça os grandes principios reguladores da vida colectiva. Uma utopia, um sonho do Poeta, visionador de irrealizáveis fantasias? Não, por certo. Para o futuro caminhamos, lutando, esclrecendo, educando, e agora que já nos não atravanca o caminho o estorvo da monarquia, com todo o seu sistema organizado de correção e reacionarismo, mais facilmente podemos romper pela estrada, além da qual esplende essa ideal primavera que o nosso sonho concebe e o nosso esforço acalente. É o poeta ainda que impele a luta, bradando ao Povo as palavras de combate incitando-o, pondo-lhe deante dos olhos a visão radiosa desse ideal futuro.....


* Baia, Proclamação da Repúclica no Brasil

in  

"Os seus primeiros trabalhos jornalísticos são escritos na Baía, cidade onde singrou no ramo" 

Jean-Jacques Rousseau (Genebra, 28 de junho de 1712 – Ermenonville, 2 de julho de 1778),



Jean-Jacques Rousseau (Genebra, 28 de junho de
1712 – Ermenonville, 2 de julho de 1778),

 fonte:

https://daten.digitale-sammlungen.de/0001/bsb00010207/images/index.html?fip=193.174.98.30&seite=11&pdfseitex=

https://daten.digitale-sammlungen.de/0001/bsb00010207/images/index.html?fip=193.174.98.30&seite=45&pdfseitex= 

 

domingo, 3 de agosto de 2025

CATHERINE SEYTON (O ABADE).Personagem ficticia do Romance Histórico de Walter Scott.




(O ABADE).

O claustro está silencioso e sombrio; urtigas crescem nos pátios;
a grama cresce tristemente através das lajes da capela; as celas estão desertas; os santos e anjos de pedra que decoravam e santificavam o piedoso edifício jazem no chão, mutilados e em ruínas.
Santa Catarina de Sena, padroeira do convento, a horda herética dos soldados de Murray derrubou sua imagem! As piedosas freiras, suas servas e suas filhas fugiram à sua aproximação, como tímidas toutinegras ao grito feroz da águia-pesqueira ou do abutre.

Duas mulheres permaneceram no claustro e habitam sua lamentável solidão; uma está triste como estes grandes pátios desertos e esta capela despojada de seus santos; a severidade da idade une-se nobremente, em seu rosto pálido, à melancolia do infortúnio. Ela chora pela impiedade dos homens e pelos lugares sagrados profanados. A outra é uma jovem que ri como uma flor de maio. Sob a vestimenta simples que a cobre, vislumbra-se um corpo gracioso e encantador; dois pés esbeltos e adoráveis, como aqueles dados às suas afilhadas pelas fadas, atraem e cativam o olhar; seus olhos azuis-celestes têm vivacidade.

 
Galerie des femmes de
Walter Scott, quarante deux portraits accompagnés chacun d'un portrait littéraire

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8600213v/f63.item


Titre :  Galerie des femmes de Walter Scott, quarante deux portraits accompagnés chacun d'un portrait littéraire
Éditeur  :  Marchant, A. Dupont ; Rittner et Croupil (Paris)
Date d'édition :  1839
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb333996438
Type :  monographie imprimée
Langue  :  français
Format :  In-4°
Format :  Nombre total de vues : 266
Format :  application/epub+zip
Description :  Avec mode texte
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/btv1b8600213v
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES-Y2-1098
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  03/05/2010
CATHERINE SEYTON 

Felice Napoleone Canevero (né le 7 juillet 1838 à Lima, au Pérou et mort le 30 décembre 1926 à Venise, dans le royaume d'Italie)

  


 

Felice Napoleone Canevaro Fonctions: Ministre des Affaires étrangères du
royaume d'Italie. 29 juin 1898 – 14 mai 1899, (10 mois et 15 jours)
Monarque Humbert Ier Premier ministre Luigi Pelloux
Législature XXe Prédécesseur Raffaele Cappelli
Successeur Emilio Visconti-Venosta Ministre de la Marine du royaume d'Italie
1er juin 1898 – 29 juin 1898, (28 jours). Premier ministre Antonio di Rudinì
Législature XXe, Prédécesseur Alessandro Asinari di, San Marzano, Successeur Giuseppe Palumbo
Sénateur du royaume d'Italie,Felice Napoleone Canevaro.

Felice Napoleone Canevero (né le 7 juillet 1838 à
Lima, au Pérou et mort le 30 décembre 1926 à Venise,
dans le royaume d'Italie) 

 

Fonte:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Felice_Napoleone_Canevaro 

imagem fotografia onde se encontra


La Vie illustrée : journal hebdomadaire
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t51199685v/f1.planchecontact#

itre :  La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Éditeur  :  Juven (Paris)
Date d'édition :  1898-10-20
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32889048v
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Description :  20 octobre 1898
Description :  1898/10/20 (A1,N1).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bd6t51199685v
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-794
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  11/06/2023 
 

Ritter Christoph von Gluck. Ola sr. Gluck prazer em conhece - lo.( como fez isso?)

 


IX. Ritter Christoph von Gluck

O músico EITOR BERLIOZ (anteriormente)

você gosta deste livro? (como é que eu cheguei neste livro?) como cheguei neste livro, buscando arquitetura, rs!

Mencionado aqui em Eitor Berlioz! que amava Gluck 

O Músico Eitor Berlioz (Hector Berlioz), lembra da história do cara que o pai queria que ele fosse médico, ele fugiu e se tornou músico?

https://www.blogger.com/u/2/blog/post/edit/2440002276847656293/2512908609727278625 

https://bildsuche.digitale-sammlungen.de/index.html?c=viewer&kategoriennummer=1&bandnummer=

bsb00016004&pimage=00139&zeitintervall_von=1013&zeitintervall_bis=1945&einzelsegment=&l=de 

 Anton Schweizer 1737in: Portraite der berühmtesten Compositeurs der 1813

https://daten.digitale-sammlungen.de/0001/bsb00010207/images/index.html?fip=193.174.98.30&seite=11&pdfseitex= 

Lipowsky, Felix Joseph / Winter, Heinrich E. [Illustrator]: Portraite der berühmtesten Compositeurs der Tonkunst, [München], [1813-1821] 

 X. RITTER CHRISTOPH von GLUCK

nasceu em 14 de fevereiro de 1712, em Weidlwang, tribunal distrital de Auerbach, no Alto Palatinado. Em sua juventude, foi a Praga para estudar e, mesmo assim, obteve grande reconhecimento por sua habilidade com diversos instrumentos. Sua grande paixão pela composição o levou a abandonar a carreira acadêmica e se dedicar inteiramente à música. Para aprofundar seu desenvolvimento artístico, viajou para a Itália e apresentou sua primeira ópera em Milão. Em 1742, sua ópera Demetrio foi apresentada com aclamação da crítica no Teatro Samuele, em Veneza. Em seguida, aventurou-se em uma rápida viagem à Inglaterra e teve sua ópera La Caduta de'Giganti apresentada em Veneza em 1742. Em Viena, escreveu as óperas Orfeu e Alceste, em 1764, e depois Elena e Paride, o famoso drama que foi tão bem recebido no casamento do Rei José II, em 1765.
Recebeu grande aclamação. Em 1772, musicou a ópera Iphigenie en Aulide para o teatro parisiense, recebendo aclamação geral e um triunfo completo sobre seus oponentes Lully e Rameau. Esta ópera foi apresentada com casa cheia 165 vezes em Paris até 1782. Por sua bela música, o Rei da França concedeu-lhe uma pensão anual de 60.000 florins. Mas agora, a pedido do Imperador, ele deixou Paris, após ter acumulado uma fortuna de 30.000 florins, e retornou a Viena, onde morreu de apoplexia como Kapellmeister Imperial em 15 de novembro de 1787. De seus primos, vários dos quais foram gravados em cobre em Londres, Paris, Berlim, etc., os seguintes ainda são famosos: 11 Triomfo di Clelia; Artamene; Semiramide; 11 Parnasso Confuso; e os Peregrinos de Meca, com poesia alemã, que opera em Viena.

foram executadas pela primeira vez. A música de suas óperas exala simplicidade, o canto expressa a emoção com precisão, a declamação é observada com precisão, ele introduziu instrumentos de sopro com mais frequência, dando assim às suas obras uma nova aparência e um novo conteúdo, fez uso diligente de coros e evitou, com razão, os gargarejos, cadências e da capos excessivos em árias; em suma, Ritter von Gluck é o homem que primeiro demonstrou o conteúdo e a expressão da música operística. (Riedl sobre a música de Ritter Gluck (Viena 1775) Bofslersche Zeitungen. Ano 1788, 8.157. Neues Tonkünst de E.L. Gerber]. Lexik. (2ª ed.) Th. 11, p. 344. F. J. Lipowski-Baier, Musiklexik. 8.91.)

 X. RITTER CHRISTOPH von GLUCK,

wurde den 14. Februar 1712 zu Weidlwang Landgerichts Auerbach in der Oberpfalz geboren. Er begab sich in seiner Jugend nach Prag um dort zu studieren, und erwarb sich damals schon durch seine Fertigkeit auf verschiedenen Instrumenten grofsen Beifall. Seine grofse Neigung zur Tonsetzkunst bewog ihn die Wissenschaften zu verlassen, und sich ganz der Musik zu weihen. Um sich zu vervollkommnen, trat er eine Reise nach Italien an, und führte zu Mailand seine erste Oper auf. Im Jahre 1742 wurde in Venedig seine Oper Demetrio auf dem Theater Samuele mit allem Beifalle gegeben, und nun wagte er einen raschen Flug nach Engeland, und liefs in 2. don seine Oper La Caduta de’Giganti i. J. 1742. aufführen. In Wien schrieb er 1764 die Opern Orfeo, und Alceste, dann Elena eParide, jenes berühmte Drama, das 1765 bei der Vermählungsfeier K. Josephll. so grofsen Beifall erhielt. Im Jahre 1772 setzte er für das Pariser Theater die Oper Iphigenie en Aulide, in Musik, erhielt allgemeinen Beifall und einen vollen Triumph über seine Gegner Lully und Rameau. Diese Oper wurde bei vollem Hause 165 Mal in Paris bis zum Jahre 1782 aufgeführt. Für seine schöne Musiken verlieh ihm Frankreichs König eine jährliche Pension von 6ocooLiv. Aber nun verliefs er auf Verlangen des Kaisers Paris, nachdem er sich ein Vermögen von 30000fl. gesammelt hatte, und kehrte nach Wien zurücke, wo er als k. k. Kapellmeister den 15. Nov. 1787 am Schlagflusse gestorben ist. Von seinen Base, deren mehrere zu London, Paris, Berlin etc. in Kupfer gestochen worden, sind noch berühmt: 11 Triomfo di Clelia; Artamene; Semiramide; ll Parnasso confuso, und die Pilgrimme von Mekka, mit deutscher Poesie, welche Opern zu Wien
zum ersten Mal aufgeführt wurden. Die Musik seiner Opern athmet Simplizität, der Gesang spricht richtig die Empfindung aus, die Deklamation ist genau beobachtet, er führte die Blasinstrumente häufiger ein, una gab so seinen Arbeiten ein neues Ansehen , einen neuen Gehalt, er machte fleifsig Gebrauch von Chören,, und vermied mit Recht in Arien die allzuvielen Gurgeleien, Cadenzen und Da Capos; kurz Ritter von Gluck ist der Mann, der zuerst zeigte, von welchem Gehalte und Ausdrucke eine Oper- Musik seyn sollte. (Riedl über die Musik des Ritter Gluck (Wien 1775) Bofslersche Zeitungen. Jahrg. 1788 8.157. E.L. Gerber’s neues Tonkünst]. Le-

xik. (2. Aufl.) Th.11. S. 344. F. J.Lipowski baier, Musiklexik. 8.91.)






 

Huguette Duflos (Hermance Hert) , née Hermance Joséphine Meurs le 24 août 1887 à Limoges et morte le 12 avril 1982 edição lunapic de gratis


 


a última é pelo chat gpt fica bonito mas não é a mesma imagem, dá pra brincar descubra os 1 milhão de erros. E ele o chat brigou comigo outro dia pedi ele me mandou uma esculhambação tão grande que desisti. Faz dias não uso.

 

 https://fr.wikipedia.org/wiki/Huguette_Duflos

Huguette Duflos (Hermance Hert) , née
Hermance Joséphine Meurs le 24 août 1887 à
Limoges et morte le 12 avril 1982

Charles Auguste Émile Durand - Carolus Duran Lille, 4 de julho de 1837 — Paris, 17 de fevereiro de 1917.

 


CAROLUS-DURAN. — EN FAMILLE. (Beaux-Arts)

 

https://pt.wikipedia.org/wiki/Carolus-Duran
Charles Auguste Émile Durand (Lille, 4 de julho de 1837
— Paris, 17 de fevereiro de 1917), dito Carolus-Duran, foi
um pintor francês.

02 de maio de 1902
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t512178975/f14.planchecontact.r=vIE%20Illustree
https://www.geni.com/people/Charles-%C3%89mile-Auguste-Durand-dit-Carolus-Duran/6000000021429447999#/tab/media
https://www.geni.com/people/Pauline-Croizette/6000000021428747736
Titre :  La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Éditeur  :  Juven (Paris)
Date d'édition :  1902-05-02
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32889048v
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Description :  02 mai 1902
Description :  1902/05/02 (A5,N185).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bd6t512178975
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-794
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  16/07/2023

 


M. Carolus Duran. Peintre : [photographie, tirage de démonstration] / [Atelier Nadar]
Atelier Nadar. Photographe
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53247936r

titre :  M. Carolus Duran. Peintre : [photographie, tirage de démonstration] / [Atelier Nadar]
Auteur  :  Atelier Nadar. Photographe
Date d'édition :  1886
Sujet :  Carolus-Duran (1837-1917) -- Portraits
Sujet :  Portraits de studio -- 20e siècle
Relation :  Extrait de : [Album de référence de l'Atelier Nadar. Vol. 75]
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb47060818z
Type :  image fixe
Type :  photographie
Langue  :  français
Format :  1 photogr. pos. sur papier albuminé : d'après...
Format :  image/jpeg
Format :  Nombre total de vues : 1
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/btv1b53247936r
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, NA-240 (3)-FT 4
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  04/12/2023 

 [Carolus-Duran dans son atelier] / [non identifié]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b10845338s

 Titre :  [Carolus-Duran dans son atelier] / [non identifié]
Date d'édition :  1895
Sujet :  Carolus-Duran (1837-1917)
Sujet :  Peintres
Sujet :  Ateliers d'artistes
Sujet :  Portraits d'intérieur -- 1870-1913
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42425231w
Type :  image fixe
Type :  photographie
Format :  1 photogr. pos. sur papier albuminé d'après un...
Format :  image/jpeg
Format :  Nombre total de vues : 1
Description :  Collectionneur : Sirot, Georges (1898-1977)
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/btv1b10845338s
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, EN-1 (CAROLUS-DURAN)-BOITE FOL B
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  13/07/2025

 

Charles Auguste Émile Durand, mais conhecido como Carolus-Duran, nasceu em Lille em 4 de julho de 1837. Filho do dono de uma fábrica de telas, demonstrou desde cedo uma forte inclinação para as artes. Iniciou seus estudos artísticos na Academia de Lille, onde foi treinado pelo escultor Augustin-Phidias Cadet de Beaupré e pelo pintor François Souchon.

Mlle MITZY DALT1, DE L’ODÉON, DANS POINT DE LENDEMAIN, DE M. PAUL HERVIEu

 

 

 

 

Fonte:

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t512178263/f7.planchecontact.r=%22Lucy%20G%C3%A9rard%22#
La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Titre :  La Vie illustrée : journal hebdomadaire
Éditeur  :  Juven (Paris)
Date d'édition :  1901-12-19
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32889048v
Type :  texte
Type :  publication en série imprimée
Langue  :  français
Description :  19 décembre 1901
Description :  1901/12/19 (A4).
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bd6t512178263
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-794
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  16/07/2023 

 

Esta mesma fotofrafia se encontra aqui na Biblioteca digital da Espanha BDH

https://bdh-rd.bne.es/viewer.vm?id=0000052804 

O músico EITOR BERLIOZ, HEcror BERLIOZ. vers 1863. H. 23,5 cm; L. 16,5 em. B.N., Est. Nom inscrit de la main de Nadar,

 

 


 O TEXTO ESTÁ TRUCADO POIS COPIADO DIRETO DA REVISTA.

E PERDI O ALBUM DE FOTOFRAFIA DOS ILUSTRES CRI ABERTA MAS FECHEI E AGORA, JÁ FUI DIRETO NO SISTEMA MAS SÃO MILHARES DE ITENS PARA ENCONTRAR O QUE DÁ NO MESMO BUSCAR. 

 Quando, aos 19 anos, Eitor Berlioz foi para Paris estudar medicina, eram bem rudimentares os conheci| mentos de técnica musical de quem ia, em breve, fazer na música uma assombrosa revolução
solfejava quando muito, e tocava... viola, mas le| vava consigo a maravilhosa intuição || do gênio.

Estava-se, em pleno romantismo.
ra a época das emoções, das lutas, dos furores, dos arrebatamentos, da dedicação, sem limites, à arte. (Teófilo Gautier.)

«Les môres inquittes avaient mis au monde une géntration ardente, púle, nerveuse,. coeur les esprits exaltês, souffrants, toutes | les âmes expansives qui ont besoin | |

de Pinfini plitrent la téte, en pleu rant; ils s'enveloppérent de réves maladifs et Pon ne vit plus que de || fréles roseaux sur unvocein d'amer|| temer. (A. Musset. Confession d'un

 enfant du siêde)..... e Berlioz foi bem a encarnação do seu tempo. Essa estranha vida que os escritores representavam nas suas obras, viveu-a êle,

Desde os 12 anos que o amor o lança na exaltação e no sofrimento, e essa dolorosa loucura do amor acompanhá-lo-á até ao leito de morte.

«Le vertige me prit et ne me quitta plus. Je mesperais rien,..... je ne sa

vais rien, mais Téprouvais au cur une douleur profondes. (Memórias, tômo 10.) à Estudante de medicina por imposição do pai, confranjia-se, Orrorizava-o à ideia de que ia dissecar cadáveres, ver operações mor, «uosas, & ouvir o estertor doravoir pastes, êle. que já sonhava ssse ant aimtitter Vempyrée pour loven, ou S) de la terret» ! aimé peutiéireEssa onive ne men console p.rdo,

 Realizar-se, quando Berlioz, que nunca pusera os pés numa sala de espetáculo, caiu numa noite, em plena  ópera.
  

Não erm ainda Glúck, eram as Danaides de Salieri; mas a pompa e o brilho do espectáculo, a marcha armoniosa da orquestra e o talento patético da principal intérprete(a célebre M.”* Branchu) levaram àquela alma de entusiasta ardente uma grande perturbação.

«pétais comme un jeune homme aux instincts navigatenrs, qui n'ayant jamais vu que les nacelles des lacs-de ses montagnes, se trouverait brusquement sur un vaisseau à trois ponts en pleince mer.

Je ne dormis guéxe, on peu le croire, la nuit qui suivit cette réprésentation et la leçon d'anatomie di lendemain se vessentit de mon insomnic»,

Ressentiu-se, e para sempre, porque a Opera será desde então a sua obsessão. .

A anatomia ser-lhe-4 odiosa e passará, oras inteiras, à tarde, a reflectir

“estudos e as suas aspirações. (Memórias, 1º volume). A Opera fascina-o. Volta uma, muitas noites. A sua exaitacão é indescritível. Lê biografias de

=D músicos; lê a biografia de Gliick, , apaixona-se por Gliick e detesta Piccini. Sente uma antipatia profunda

Teatro-italiano.

Que conhece de Ghick, contudo, - êsse jovem entusiasta?. +.» A bios

O rrafia. Mas Gliick exerce no seu

espírito uma atracção inesplicável; é

um impulso misterioso que o leva

com a intuição do génio, pressente luminosas,

A biblioteca do Conservatório está aberta a toda a gente e lá poderá estudar as obras de
Gliick, dizem-lhe, e Berlioz não resiste. Entra no Conservatório para nunca mais voltar á Escola de Medicina, A sua educação é miserável, mas a sua vontade é sobre-umana. Lê e relê as partituras de Gliick, quer e compreender, e consegue-o!

Mas não se contenta em lê-las; decora-as! Glúck faz-lhe perder o sono; esquece-se de comer e de beber; delira, N dia em que vê, enfim, “a em Aulida, a

na triste contradição entre os seus |

pelos italianos e compraz-se em fazer || ir pelos ares, na sua imajinação, o

para rejives do desconhecido que êle, ||



Não erm ainda Glúck, eram as Danaides de Salieri; mas a pompa e o brilho do espectáculo, a marcha armoniosa da orquestra e o talento patético da principal intérprete(a célebre M.”* Branchu) levaram àquela alma de entusiasta ardente uma grande perturbação.

«pétais comme un jeune homme aux instincts navigatenrs, qui n'ayant jamais vu que les nacelles des lacs-de ses montagnes, se trouverait brusquement sur un vaisseau à trois ponts en pleince mer.

Je ne dormis guéxe, on peu le croire, la nuit qui suivit cette réprésentation et la leçon d'anatomie di lendemain se vessentit de mon insomnic»,

Ressentiu-se, e para sempre, porque a Opera será desde então a sua obsessão. .

A anatomia ser-lhe-4 odiosa e passará, oras inteiras, à tarde, a reflectir

“estudos e as suas aspirações. (Memórias, 1º volume). A Opera fascina-o. Volta uma, muitas noites. A sua exaitacão é indescritível. Lê biografias de

=D músicos; lê a biografia de Gliick, , apaixona-se por Gliick e detesta Piccini. Sente uma antipatia profunda

Teatro-italiano.

Que conhece de Ghick, contudo, - êsse jovem entusiasta?. +.» A bios

O rrafia. Mas Gliick exerce no seu

espírito uma atracção inesplicável; é

um impulso misterioso que o leva

com a intuição do génio, pressente luminosas,

A biblioteca do Conservatório está aberta a toda a gente e lá poderá estudar as obras de Gliick, dizem-lhe, e Berlioz não resiste. Entra no Conservatório para nunca mais voltar á Escola de Medicina, A sua educação é miserável, mas a sua vontade é sobre-umana. Lê e relê as partituras de Gliick, quer e compreender, e consegue-o!

Mas não se contenta em lê-las; decora-as! Glúck faz-lhe perder o sono; esquece-se de comer e de beber; delira, N dia em que vê, enfim,

 e à noite ao sair da ópera, sob uma emoção esmagadora, jura que será músico, seja-o, embora, contra pai, mãe, tios, tias, avós. e amigos. (Memórias, tômo 1.º, capítulo V.) Este juramento vai custar-lhe provações eroicas, mas anima-o o fogo sagrado.

O. culto da música torna-se para êle um culto divino'e nisso é faná-

tico. Gasta na Opera a sua magra ||

mesada de estudante, As representações são solenidades para que se prepara, pela leitura e pelo estudo febril das obras que vai ouvir. Com

| alguns habituês da geral, forma o grupo dos fanáticos. Reanima o fer-

vor da seita «, des prédications dignes des sa: ER -simos E

A sua ânsia de proselitismo vai até pagar os lugares dos tímidos e dos indecisos e leva-os ao teatro, de vontade ou... á fôrça!

São os seus omens; recomendalhes que cheguem cedo e escolhelhes os melhores lugares que variam para cada ópera, e até para cada cenário.

Tira então do bolso o dibretto, e, antes de subir o pano, lê e comenta o assunto; canta à seguir as passajens mais salientes, esplica os processos de instrumentação e «fanatise

| Pavance ses ouailles (Edmond Hip-

peau: «Berlioz et son temps»). Aplaude com frenesi coisas belas em que mais ninguem repara, ou

invectiva os atentados que músicos e | | cantores cometem, alterando as obras |

do mestre.

Quem se atreve a emendar Glick?

E" um doido que causa escândalo!

Belo e santo entusiasmo de que os filisteus se rirão, mas que alguém comoverá.

Podia este omem atrasado no fogo da arte deixar de vir a ser um grande artista criador?

Não é faculdade maravilhosa do génio transpor o insuperável e seguir o seu destino?

Mas Berlioz teve de transpor, na verdade, o insuperável.

Conselhos, suplicas, admoestações, ameaças de seu pai, que êle, no entanto, amava muito, encontram-no inabalável. E'-lhe tirada a mesada e ele faz-se corista num teatro de ope-

reta, para não morrer de fome, O seu |

espírito é já um vulcão, mas quando em breve se lhe revelarem Weber e Beethoven, ao mesmo tempo que Gethe e Shakespeare, aquele espírito, bem grande, sentir-se-á cheio.

« Cétait le temps des grands enthowsiasmes, des grandes passions musi-

ales, des longues réveries, des joies infinies inexprimables».

Aneisprimíveis por palavras, mas na música sente êle a sublime linguajem dos sentimentos e das paixões.

Vem-lhe então a necessidade imperiosa de por sua vez compôr óperas, compôr sinfonias, e tem a certeza de que fará coisas belas, arrebatadoras, mas, facto doloroso, reconhece. que não sabe escrever.

Momentos: de angústia, mas não de desánimo. Aprenderá, e entra no Conservatório, Quere começar pelo fim e vai para o curso de composição de Lésueur; dizem-lhe, porém, que não sabe fuga e contraponto, nem mesmo armonia e que é indispensável aprender isso. Berlioz estuda com entusiasmo, porque tem pressa de ser músico, mas reconhece, em breve, a chateza das formas convencionais e das «teorias antediluvianas » (memórias) e indispõe-se com os professores que viam nêle um Z»reverente, Concorre ao prémio de composição e é eliminado nas provas preparatórias de fuga e contraponto, e só depois de concorrer quatro vezes, obtém, aos 27 anos, o desejado primeiro prémio que êle só queria por ser a sua consagração como músico perante a familia e o subsídio do govêrno para viajar na Itália e na Alemanha,

A” muito, todavia, que rompeu com o ensino oficial, Os seus mestres são Gliick, Weber e Beethoven e os seus inspiradores: Verjílio, Gasthe e Shakespeare! que emoção! e que paixão tumultuosa lhe inspira Miss Smithson, a fair Ophelia que a seus olhos incarnava o génio do poeta!

«Melancholie, aliliction, Jrénési e enfer méme, elle donne à tout je ne

|| sais quel charme et quelle grácetm

Esse amor é um grande e sublime

' momento na sua vida, «O mais belo

fenómeno que se conhece no romantismo vivido» (Julien Fiersot). A exaltação daquela alma em que tudo era tão grande, chega-ao parocsismo; Erra pelas ruas de Paris, foje pelos campos, passa noites á beira do Sena. gelado!

As suas meditações são negras, sente despedaçar-se-lhe o coração, e na sua, vida, como na de Hamlet, à lágrimas, á luto, á catástrofes! Mas dessas catástrofes sai um artista divino e uma obra prima sem precedentes: a Sinfonia-Fantástica !

Berlioz é já mestre, e que mestre!"

Os moldes de Gliúck, de Weber e de Beethoven possui-os êle, não para os imitar, não para os copiar, mas

fazer Os seus, Ê Ele não é o omem de «métier »,

não“Sabe os trucs, não toca piano,

o recebeu a preparação consagrada e isto orroriza os sábios.

Mas é o génio, a intuição, o entusiasmo, a espontaneidade.

Abriu-se para a Música uma nova era e uma nova Arte, insólita e inesperada, e Roberto Schuman, o sombrio, o pessimista Schuman dirá; «é belo e excede Beethoven ».

Ah! Mas êle fala com eloquência divina, e a sua geração. O profanum vulgus quere cavatinas e Berlioz nesse jardim povoado por

«« balbucia, |

macacos, a que chama a bela Itália, |

pouco pôde colher.

Ele defende a causa do Romantismo, êle é o maior dos românticos, mas os seus irmãos não o compreendem; pintores, escultores, e músicos são rossinistas,

A educação musical dos literatos é |

baixa.

Musset é um dilettante furioso do Teatro-ltaliano e Gautier escreve «La musique est de tous les bruits le plus couteux et le plus desagriables tt!

Na Alemanha tem soberbas oras de triunfo. Romeu e Julieta, as Cenas do Fausto, a Sinfonia Fantástica despertam um entusiasmo louco; aplausos intermináveis, abraços, lágrimas, batutas de prata que os seus músicos lhe ofereceram, cartas e coroas enviadas por mãos desconhecidas. Mas as oras de triunfo não compensam as da amargura.

Paris vê nele um homem estraordinário, sim, mas doido, paradocsal, E afinal, Paris tinha razão; êle não era ómem de seu tempo, êle nascera cinquenta anos mais cedo, êle era úmem paradocsal na verdade. A sua instrumentação é guiada por um instinto misterioso € Os seus processos escapam à análise, diz Camille SaintSãens, porque não ezistem; les :: truments paraissent disposés en dépit di sens comun; il semblerait pour emplover Pargot du méticr que cela ne dit pas sonner et'cela sonne merveileusement, » Portraits et Souvenirs).

Paris acolhe com desdém a Conde- ||

nação de Fausto, que cai miserável. mente! (Como isto oje nos parece bárbaro, monstruoso, infame!

daquela soberba Introdução, o Córo |

EM Páscoa, a Cena das marjens do ba, o admirável “final da II Parte, A Balada do pei de Tule, à Invocação à natureza não eram ainda música sublime!?

Um abismo profundo separa então Os nossos sentimentos dos daquela época e dir-se-ia que aqueles omens

não foram nossos ascendentes imediatos, mas abitantes a China primitiva n'um planeta remoto. |

A Condenação de Fausto é acolhida | com desdém e Berlioz que nela pusera todo o seu génio sofre um golpe profundo de que não mais se restabelecerá. Passa pela sua alma uma tristeza mortal. Está pobre e cheio de | dividas, porque, para editar e fazer |

ouvir as suas obras foi preciso gastar ||

muito dinheiro, e elas só endivida- | ram. Sua mulher, Enriqueta Smithson, | a que fôra a fair Ophelia, está | paralítica incurável; seu pai, que êle amava muito, morre e nesse longo período de desolação Berlioz só pode escrever a Marcha Fiúnebre de Hlamlet, em que põe por epigrafe estes versos de Ovídio: | Qui viderit úllas De lacrymis factas sentiet case meia,

A suave Infância de Cristo traz-lhe depois um sucessso, mas Berlioz acha-o calunioso para o resto da sua obra, e finalmente a queda estrondosa dos Troianos, seguida da morte de seu filho único, ê pode dizer-se, à | causa da sua morte, porque Berlioz sucumbiu a uma neurose gastro-intestinal, filha sem dúvida de uma neu-

rastenia. As suas últimas palavras | são um grito de descrença: « Tudo me ||

É indiferente ».

| cialmente dramático vai ficar 0 sin= | foni:

| é baseado numa eresia e á de cair.

| êle disse de Beethoven: «é a música

| volumes de correspondência íntima, | bastariam para fazer uma reputação

| Beethoven, Goethe, Verjílio e Sha-

A acção de Berlioz na música sin-

fónica nenhuma outra tem que a iguale.

Chamou-se a Wagner o músico do. futuro e é curioso ver o que o futuro responde.

Contra o drama wagneriano acen= tua-se uma reacção muito viva e não deixa de ser interessante que do Wagner, reformador do drama musical e a quem chamaram gênio essen-

a, figura bem acentuada, sem dúvida, collossal, mas que, não é menos certo, proceda de Liszt e de Berlioz.

Noutra ordem de ideias, um dos maiores músicos vivos, Camilo SaintSãens tem uma opinião mais radical sôbre a influência que Wagner e Berlioz virão a ter na música do futuro.

Desde que João Bach, diz SaintSãens, fez triunfar a enarmonia com o Clavecin bien tempré as formas da arte foram renovadas, mas êste triunfo

Que ficará então da música actual? pregunta Saint-Sãens, e responde: «Talvez só Berlioz, que não sabia piano e tinha um orror instintivo pela enarmonia; e nisto é êle a antitese de Ricardo Wagner, a enarmonia feita omem!

Em Berlioz, o músico é pois digno de uma admiração escepcional e dele e da sua música podemos dizer o que

de uma esfera superior... zu. ..«

«um Titan, um arcanjo, um trono, uma dominação ; podia e devia mesmo ter parafraseado a apóstrofe do Evanjelho e dizer: omens o que à de comum entre mim e vós?»

Mas, em Berlioz á que admirar o crítico, o primeiro crítico musical da sua época sem contestação, diz GC. Saint-Sáens (Portraits et Sonvenirs), o prosador finissimo duma elegância perfeita e de uma graça ineiscedivel.

Os seus sete volumes de crítica, de viajens, e de memórias, e os dois

literária, O seu amor à arte foi grande e puro e pelos seus pais, Glúck, Weber,

kespeare teve sempre um culto terno e comovente,

A* na última pájina das suas | Memórias estas palavras: «J/ ant me consoler de n'avoir pas cont Virgile, que jeusse tant aimé, O Gliick, ou Beethoven, ou S) qui m'eât aimé peu est vrai que je ne men console pa

Na primeira pájina dos Troianos | escreve: Divo Virgílio, e quando um | “dia a orquesta do príncipe de Hohen- | zollerm ezecuta majistralmente Romeu | é Julieta, que o mestre de capela do principe esclama «não, não, nada á mais belo» que a orquesta se levanta arrebatada e que estala um aplauso | imenso, Berlioz em eistase vê luzir no ar o olhar sereno de Shakespeare | e diz baixinho « Father, are you con- | tent?» (carta a Humberto Fernand, de q de maio de 1863). |

Oje Berlioz está em plena glória, | mas o futuro há de proclamá-lo a |

mais bela e a mais caraterística figura 

de artista do seu tempo, o mais digno de ser amado. Genial como músico, sim; mas a música era apenas a linguajem natural da sua grande alma, dessa alma em que tudo foi estremo: amor e ódio, alegria e tristeza; que sofreu, até ao fim, dores cruciantes e ineiscedíveis, mas que conheceu eistases ignorados; que chorou lágrimas

amargas de tristeza e chorou lágrimas |

duma alegria inefável. E essa alma, tão grande como era,

|| ficou-nos para sempre nas suas obras.

 

 

Portugal 12 de janeiro de 1910 

TExto escrito por João da Silva Figueiredo.

in «A Águia» (http://www.citi.pt/cultura/literatura/poesia/j_g_ferreira/aguia.html). no CITI.

esse que é o problema de cortar eu sei onde está mas quem  mais sabe? 


Imagem do Berlioz, Eitor Berlioz, ou Hector Berlioz 

 [Recueil. Portraits de musiciens et de compositeurs]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8438647v/f31.item.zoom#
itre :  [Recueil. Portraits de musiciens et de compositeurs]
Date d'édition :  1860-1880
Sujet :  Musiciens -- Portraits
Sujet :  Compositeurs -- Portraits
Sujet :  Portraits -- 19e siècle
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40355436b
Type :  image fixe
Type :  photographie
Langue  :  Sans contenu linguistique
Format :  1 album de 50 photographies positives sur papier...
Format :  image/jpeg
Format :  Nombre total de vues : 50
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/btv1b8438647v
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, 4-NA-290
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  27/06/2011


IX. Ritter Christoph von Gluck

https://daten.digitale-sammlungen.de/0001/bsb00010207/images/index.html?fip=193.174.98.30&seite=11&pdfseitex= 

Lipowsky, Felix Joseph / Winter, Heinrich E. [Illustrator]: Portraite der berühmtesten Compositeurs der Tonkunst, [München], [1813-1821] 

 

Nadar : [exposition, Bibliothèque nationale, Paris, 19 mars-16 mai 1965] / Bibliothèque nationale ; [cat. par Alix Chevallier] ; [prèf. d'Étienne Dennery]
Chevallier, Alix (1938-....). Auteur du texte

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6456858c/f69.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6456858c/f87.item


Titre :  Nadar : [exposition, Bibliothèque nationale, Paris, 19 mars-16 mai 1965] / Bibliothèque nationale ; [cat. par Alix Chevallier] ; [prèf. d'Étienne Dennery]
Auteur  :  Chevallier, Alix (1938-....). Auteur du texte
Auteur  :  Bibliothèque nationale (France). Auteur du texte
Éditeur  :  Bibliothèque nationale (Paris)
Date d'édition :  1965
Contributeur  :  Dennery, Étienne (1903-1979). Préfacier
Sujet :  Nadar (1820-1910)
Notice du catalogue :  http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35772705v
Type :  monographie imprimée
Langue  :  français
Format :  Non paginé : ill., couv. ill. ; 21 cm
Format :  Nombre total de vues : 100
Format :  application/epub+zip 3.0 accessible
Format :  Format adaptable de type XML DTBook, 2005-3
Description :  [Exposition. Paris, Bibliothèque nationale. 1965]
Description :  Contient une table des matières
Description :  Avec mode texte
Description :  Catalogues d'exposition
Droits  :  Consultable en ligne
Identifiant :  ark:/12148/bpt6k6456858c
Source  :  Bibliothèque nationale de France, département Recherche bibliographique, 2010-65298
Conservation numérique :  Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne  :  04/07/2013


 


Delicia baixando livros . Trabalheira, repassar cada livro e retirar de quem foi que repassou pensa que é fácil. Busque você. me deu uma taquicardia nossa que livro lindo!

não faço a menor questão de repassar nada. Mesmo depois de entender que tem gente só pra reclamar e denunciar ou apagar.

 03/08/2025 10:25

E quem denuncia, apaga e desfaz não faz nada. 

voc~e vai me pedir desculpas entulho e sr.  Monteiro , peça desculpas.

Que tristesa eu acesso sim só que não me interessa mais.

o que vi sai a 6 meses, não andou um milimetro.

parabéns.

Tive eu que ler após corrigir 300 familias, que nossa!!! mas voc~e errou.

EU ERREI? pkp , lidar com asno é diferenciado. Até tentei explicar. 

Mas minha paciência esgotou. 

a questão não é nem essa. Fiz o levantamento de 300 mil pessoas afetadas +- , e saindo porque me expulsou, quem está fazendo ? Pois é ninguém! Bem isso interesse 0 vai entender gente louca.

 

Conta a pessoa que denuncia não a pessoa que faz.

Seu...... 

Nem peça desculpa mesmo, porque não me interessa mais, e não entrem em contato pra nada.

Era o que me faltava trabalhar de graça e ficar escutando gente burra achar que pode se pronunciar. 

Voltem a falar comigo daqui a 50 anos. ( gente burra e grossa). 

 

De olho aqui já entrei de novo. Se cuide maluco. 

 

porque não linco ali , faço link no original mas já está tudo baixado no outro. E não indico mais nada.

Vai lutar faça o seu. Pare de ser um zero a esquerda. 

Sei....parabéns entulho. E compania. O inferno o aguarda  prazerosamente.

 NÃO ESCUTEI O MUITO OBRIGADO.

muito obrigado professora.

muito obrigado!

 aprendam , ali não é para denunciar é para fazer acerto. Pegou errado faça.

Trabalhe, tenha vergonha na cara.

Trabalhe, ali tem milhares de trabalhos para fazer.

Trabalhe!

consegue capeta? (DÚVIDO PORQUE BURRO COMO PEDRA)

e já estou com a fotografia de um personagem, uma Biografia e tem até foto. Em real já tem a wikipédia dele, mas amei porque encontrei num grupo de revistas de Portugal o que eles dizem lá na época.

Só que estou com preguiça pois já estou com o albúm da gallica aberto e com a foto dele, do album de fotos pessoal dele num album com várias personagens da época.

 

É bom deixar 50 buscas abertas cada uma com 10 buscas abertas. Já sei que está aí aberto em algum lugar, que sono. 

António Luís de Meneses

 

 

 


 

 

Dona Luísa de Gusmão, duquesa e rainha, 1613-1666 / Hipólito Raposo. - Lisboa : Empresa Nacional de Publicidade, 1947. - [18], 485, [4] p., [66] p. il. : il. ; 23 cm

Digitalizado a partir de: hg-17830-v
Ver registo no catálogo


Raposo, Hipólito, 1885-1953


Ver online
Descarregar PDF

pagina 325 digital 255 do livro
https://bndigital.bnportugal.gov.pt/records/item/272601-dona-luisa-de-gusmao-duquesa-e-rainha-1613-1666?offset=10

https://pt.wikipedia.org/wiki/Ant%C3%B3nio_Lu%C3%ADs_de_Meneses,_1.%C2%BA_Marqu%C3%AAs_de_Marialva 

sexta-feira, 1 de agosto de 2025

D. Gaspar Afonso Alvares, 1673? Portugal, falleceo aos 24 de Novembro de 1708, Madras India.

  

D. Gaspar Afonso Alvares

 Sepuitura do illustrissimo Senbor D. GASPAR AFFCiNSO da
Companha de Jesus, quarto bispo de Mailapor~ foi sagrado
aos 2 de Agosto de 1693, falleceo aos 24 de Novembro de
1708.
The name of Dom Gaspar occurs frequently in records with
reference to his correspondence with the Government of Fort
St. George over the jurisdiction of his s~. There is another
tomb-stone of an earlier Bishop next to this slab, but the writing
is 'effaced

https://govtmuseumchennai.org/uploads/topics/16567469431929.pdf 

(PDF) S. TOMÉ DE MELIAPOR EM FINS DO SÉC. XVII NA ...

S_TOME_DE_MELIAPOR_EM_FINS_DO_SEC_XVII_N.pdf
Academia.edu
https://www.academia.edu › S_TOMÉ_DE_MELIAPO...

Tomé, Madras e Pondicherry neste fim de século e na viragem para o séc. XVIII. Em 1693 era consagrado em Goa D. Gaspar Afonso Alvares que, após confirmação ...
 https://www.academia.edu/8648810/S_TOM%C3%89_DE_MELIAPOR_EM_FINS_DO_S%C3%89C_XVII_NA_STORIA_DO_MOGHOR_DE_NICCOLAO_MANUCCI

 

Plan de Madrit -? - Juan Álvarez de Colmenar

não encontrei o autor do mapa.
 https://bibliotecadigital.jcyl.es/es/consulta/registro.do?id=9099
 Les delices de L' Espagne & du Portugal : [où l'on voit une description exacte des antiquitez, des provinces ... de... (1707) - Alvarez de Colmenar, Juan     Imágenes digitales Imágenes digitales [PDF]
Ejemplares

Título: Les delices de L' Espagne & du Portugal  : [où l'on voit une description exacte des antiquitez, des provinces ... de la religion, des moeurs des habitans ... le tout enrichi de figures en taille douce, dessinées sur les lieux mêmes] / par Juan Alvarez de Colmenar ; tome premier

Autor: Alvarez de Colmenar, Juan Icono con lupa

Publicación: À Leiden : chez Pierre Van Der Aa, 1707

Descripción física: [24], 216 p., [14] h. de grab. pleg., [3] h. de mapa pleg. ; 8º

Notas: Ver h. de lám.
Posteriormente se publicó bajo el título: "Annales d'Espagne et Portugal"
Copia digital. Valladolid : Junta de Castilla y León. Sign.: 2[asterisco]12, A-R8, S4
Antep.
Frontispicio pleg. de "J. G. in."

Contiene: Contiene: État de l'ancienne Espagne, les provinces de Biscaye, d'Asturie, de La Galice, Le Royaume de Leon, & de La Castille Vieille

Autores secundarios: Aa, Pieter van der, (1659-1733 Icono con lupa

Tipo de publicación: Libros Libros

Derechos: The Creative Commons CCO: http://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/

Ejemplares:
Biblioteca de Castilla y León (Valladolid) — Signatura: G-E 1099

Imágenes digitales Imágenes digitales
Imágenes digitales [PDF] Imágenes digitales [PDF] 

 

==================================================

 

Juan Álvarez de Colmenar
primary name: primary name: Alvarez de Colmenar, Juan
Details
individual; author/poet; French; Male
Other dates
1707- (fl.)
Biography
Author of "Les Delices de l'Espagne et du Portugal" (Leiden, Pieter van der Aa: 1707), translated into Dutch "Beschryving van Spanjen en Portugal". Probably a Frenchman living in the Netherlands. It is assumed he adopted a Spanish name on request of the publisher to support his book on Spain and Portugal.
 
acima uma viagem psicótica da identidade da pessoa que ele é um Frances, usando um nome espanhol mas provavelmente natural dos Paises baixos pra vender na Espanha e Portugal. Nossa que delícia. Eitado na Alemanha. Pergunta que não cala não passou pelo Japão também, rs!
 
==================================================
em 2015 alguém acreditou  nesta história.! tá bem
Correo electrónico de un investigador, 8-7-2015---(Juan Álvarez de Colmenar es el nombre falso del autor en virtud del cual Pieter van der Aa publicó su descripción de España y Portugal, editaba y plagiaba obras existentes en el extranjero, en este caso de Madame d'Aulnoy Mémoires de la cour d'Espagne (París, 1690; varias ediciones piratas holandeses; traducción al holandés 1705) y su Relation du voyage d'Espagne (1691, de nuevo por los editores piratas holandeses; traducción holandesa 1705))

WWW PORBASE, 8-7-2010---(Álvarez de Colmenar, Juan)

WWW ABEPI, 8-7-2015---(Álvarez de Colmenar, Juan; autor de Anales de Portugal se duda si estará escrita, como indica el nombre, por un español o si se adoptaría por algún extranjero com pseudónimo)

Les delices de l'Espagne & du Portugal, 1707---port. (par Juan Alvarez de Colmenar)

Palau---(Álvarez de Colmenar, Juan)

WWW Wikipedia, 5-8-2015---(Juan Álvarez de Colmenar; tal vez el pseudónimo del verdadero autor, quizá de origen francés) 
 
=============================================== 

 

pORTADA dEI ANTIGUO HOSPICIO EN CUYOS LOCALES SE HALL A INSTALADA LA EXPOSICIÓN D LANTIGUO MADRID /Cine Callao", um cinema famoso em Madrid,

  Fonte:  https://hemerotecadigital.bne.es/hd/es/viewer?id=22dd18e2-12ef-418e-b06e-fbdf14091b86   pORTADA dEI ANTIGUO HOSPICIO EN CUYOS LOCA...