Das Metamorfoses de Ovídio; brasões de armas dos Leonardi de Pesaro Urbino, Nicola da Urbino, por volta de 1526 Faiança (terracota; esmalte de estanho)
Leonardi Service: Ecuen, Musée de la Renaisssance
Das Metamorfoses de Ovídio; brasão de armas de Leonardi de Pesaro Urbino, Nicola da Urbino, por volta de 1526 Louça de barro (terracota; esmalte com estanho)
Leonardo da Vinci, um dos grandes homens do Renascimento, é uma espécie de gênio universal: pintor, engenheiro, arquiteto, ele projetou monumentos, máquinas que não foram feitas até os séculos seguintes.
Na mitologia grega, Paris é um príncipe troiano, filho do rei Príamo e Hecube. Enquanto ela está grávida, um presságio anuncia que o futuro príncipe causará a destruição de Tróia. Assustado, Príamo ordena que a criança seja morta: Paris é exposta no monte Ida, onde é acolhida por pastores.
Já adulto, ele é reconhecido como um príncipe troiano. Um dia, quando guardava seu rebanho, viu aparecerem diante dele Afrodite, Atenas e Hera, que lhe pediram que escolhesse para quem deveria ser o "pomo da discórdia", destinado "à mais bela das deusas do Olimpo". desconto. Pâris opta por Afrodite, que lhe promete o amor da mulher mais bonita do mundo. Ele, portanto, sequestra Helene, esposa de Menelau, o que dá início à Guerra de Tróia. Derrotado por Menelau em um combate, ele só deve sua salvação à intervenção de Afrodite. Guiado por Apolo, ele mata Aquiles com uma de suas flechas, antes de morrer das de Filoctetes.
Aquiles é homenageado como herói, até mesmo como deus, pelo mundo grego. Bonito, corajoso, campeão de uma moral orgulhosa da honra, ele encarna "o ideal moral do perfeito cavaleiro homérico". "
Dalle Metamorfosi di Ovidio; stemma di Leonardi de Pesaro Urbino, Nicola da Urbino, 1526 circa Terracotta (terracotta; smalto stagno)
Servizio Leonardi: Ecuen, Museo del Rinascimento
Nella mitologia greca, Parigi è un principe di Troia, figlio del re Priamo ed Ecubo. Mentre è incinta, un presagio annuncia che il futuro principe causerà la distruzione di Troia. Spaventato, Priamo ordina che il bambino sia messo a morte: Parigi è esposta sul monte Ida, dove viene accolto dai pastori.
Da adulto, è riconosciuto come un principe di Troia. Un giorno, mentre faceva la guardia ai suoi greggi, vide comparire davanti a lui Afrodite, Atena ed Era, che gli chiesero di scegliere a chi doveva essere l '"osso della contesa", destinato "alla più bella delle dee dell'Olimpo". sconto. Pâris opta per Afrodite, che gli promette l'amore della donna più bella del mondo. Rapisce quindi Elena, moglie di Menelao, che dà inizio alla guerra di Troia. Sconfitto da Menelao in un combattimento unico, deve la sua salvezza solo all'intervento di Afrodite. Guidato da Apollo, uccide Achille con una delle sue frecce, prima di morire di quelle di Filottete.
Achille è onorato come un eroe, anche come un dio dal mondo greco. Bello, coraggioso, campione di una morale orgogliosa dell'onore, incarna "l'ideale morale del perfetto cavaliere omerico". "
https://www.acbx41.com/tag/chateau%20d'ecouen%20-%20musee%20de%20la%20renaissance/7
D'Aprés les Métamorphoses d"Ovide; armoiries des Leonardi de Pesaro Urbino, Nicola da Urbino, vers 1526 Faïence (terre cuite; émail stannifère)
Servizio Leonardi: Ecuen, Musée de la Renaisssance
Faiança terracota; esmalte de estanho
http://www.fondazionecarifano.it/Progetti/ceramica_scaffale_bojani/13_giardini_maioliche_servizio_leonardi.pdf
A LA GASTELLANE. Procédé d'ornementation par gravure en creux sur la pâte avant que l'objet ait reçu le vernis. On appelle ce genre de graffito « grafilto alla castellana ou à la castellane », parce qu'il fut primitivement employé dans la céramique de Ciltà dcl Castello (Urbino). On rencontre ce procédé de décor sur d'autres faïences que celles de Castello, notamment sur celles delà Frata. (VoirCluny, n°' 3,066 et suivants.
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Cependant le xvi'= siècle n'a fait que suivre et étendre la tradition du naoyen âge en répandant dans l'ornementation de ses carreaux de faïence peinte toutes les richesses de dessin et de coloration de la Renaissance italienne. Carreaux gravés, vernissés, émaillés, incrustés et comme damasquinés de terre de couleurs différentes, émaux multicolores, grisailles sur fonds blancs, tout a été mis en œuvre pour agrandir les ressources de cet art décoratif. Les devises, les initiales, les armoiries se mêlent aux ornements empruntés à la flore. Le château d'Ecouen [Voir Abaquesne), le château d'Anet voient leurs parois disparaître sous les carreaux émaillés. Le château de Madrid leur donne une telle place sur sa façade que les contemporains appellent « château de faïence » le palais où s'est déployé le talent d'un Délia Robbia. Faenza est célèbre à cette époque pour les carreaux où elle représente d'habitude des mascarons à longue barbe (voir musée de Cluny, nos 4123, 4124), Urbino, Pesaro, rivalisent dans la céramique monumentale. La Hollande revêt les coffres de ses cheminées de carreaux à décors d'armoiries ou d'anecdotes. A la fin du xvni« siècle, on donnera, en France, aux carreaux de faïence pour pavage, le nom de « carreaux de Hollande ». Il semble que l'Orient ait immigré en Occident avec les émaillages arabes, persans et hindous. La polychromie des azulejos (Voir Azulejos) éclate en Europe, mais avec une ornementation indigène.
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Au moyen âge, nous voyons d'abord l'épanouissement merveilleux de la céramique orientale. Les « œuvres dorées », les « azulejos », sont des prodiges de dessin et de coloration aux reflets mouillés. Le nom de majolique, tiré du nom de Majorque et donné aux faïences italiennes, témoigne de l'importance de cette fabrication arabe, Majorque étant restée arabe pendant plus de cinq siècles. {Voir article Arabes.) Le moyen âge donne d'ailleurs une grande extension aux arts de terre {Voir article Carreaux.) La poterie « azurée » des grès-cérames lustrés par le sel apparaît à Beauvais, en Flandre, en Allemagne et en Hollande. Le xv« siècle est la date d'un essor prodigieux en Italie. Pesaro, Gubbio, Castel-Durante, Urbino, rivaUsent pour la production de nombreuses faïences à émail stannifère. {Voir Émail.) Dès la fin du moyen âge, les navigateurs portugais importent en Europe cette porcelaine dont les Chinois possèdent le secret depuis au moins quinze siècles. Au xv" siècle appartiennent les noms célèbres de Bernard Palissy et des Hirschvogel : Nevers, DeIft sont déjà des centres actifs de production. La beauté de la faïence Henri II, dite aussi faïence d'Oiron, est due au galbe élégant de l'ensemble et à la délicatesse de l'ornementation par incrustations de terres de couleurs.
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xvi" SIÈCLE. — Urbino avec ses arabesques (blanc et jaune), Castel-Durante, Deruta, Naples, Pesaro où Lanfranco invente (?) la dorure sur faïence, Venise, Cafagiolo, la Frata. En France : Rouen (Abaquesne), Ne vers qui commence peut-être vers la fin de ce siècle, les découvertes de Palissy. En Allemagne, les travaux de Ilirschvogel de Nuremberg (le Palissy allemand). En Espagne, Talavera. Delft, Faenza continuent.
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Les deux salles suivantes (27 et 28 sur le plan) sont-consacrées à la céramique italienne. Cette série porte la lettre G; les pièces sont numérotées, mais il n'y apasde catalogue. Les faïences à grands sujets mythologiques (Gastel-Durante, Urbino), à reflets métalliques (Pesaro), à tètes isolées (Deruta), avec devises (Gubbio) représentent les grands centres de céramique italienne aux xv'' et xvi* siècles. Dans la seconde des salles,près de la fenêtre du fond, ainsique dans lapetite salle sombrequi suit (29), sont plusieurs terres cuites émaillées dans le style des Délia Robbia et attribuées pour la plupart à Andréa et à Giovanni. Des encadrements de feuillages et de fruits y entourent de grands sujets religieux. Notons la Vierge et l'Enfant Jésus à l'oiseau dans une bordure de feuillages et d'oranges (G-736). Le Saint Sébastien partiellement émaillé (G-720). Au mur du fond de la salle 28, au-dessus des vitrines, grands médaillons ovales représentant la Vierge agenouillée devant l'Enfant Jésus (figures en blanc sur fond bleu). La petite salle sombre 29 contient plusieurs autres terres cuites émaillées, entre autres un Christ au jardin des Oliviers et une grande figure de Vierge assise, à robe bleue, chairs non émaillées, grandeur naturelle. Sur cette salle s'ouvrent trois portes autres que la porte d'entrée : porte sur l'escalier qui mène aux salles supplémentaires de la peinture; porte sur le grand escalier (30 sur le plan) qui descend aux monuments assyriens du rez-de-chaussée; porte à droite tournant à angle droit dans la suite des salles qui composent l'aile est du Louvre, c'est-à-dire l'aile delà colonnade de Perrault.
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NICOLO DI GABRIELE. Peintre céramiste, à Urbino,'dans la première moitié du xvi" siècle. De cet artiste renommé, on voit encore, dans la Galerie des Offices, à Florence, un très grand plat sur lequel il a exécuté une peinture d'après Raphaël.Page -683-
Le xv<> siècle a laissé de nombreux meubles. L'ébénisterie sculpte de véritables dentelles de bois. Les stalles, les chaires sont couronnées, de 'dais où la forme architecturale prédomine : ces meubles ressemblent aux niches où, sur les façades d'églises se pressent les statues des saints personnages. C'est dans la seconde moitié du xv° siècle seulement que les figures apparaîtront dans l'ornementation des panneaux. Les colorations chimiques du bois fournissent une nouvelle ressource à la marqueterie qui, en Italie, peut citer une véritable écol e de marqueteurs. Les retables polychromes jouissent d'une grande vogue en Allemagne. La céramique émaillée de Lucca délia Robbia crée un art nouveau. L'orfèvrerie cite Ghiberti, Ghirlandajo. L'émaillerie champlevée a cédé la place à l'émaillerie translucide et l'émaillerie peinte en est à sa première période. Les vitraux produisent beaucoup de grisailles. La mosaïque commence à déchoir de sa simplicité et de sa majesté primitives. L'Italie a de nombreux centres de céramique parmi lesquels Pesaro, Urbino, etc. La réputation de Venise pour la verrerie règne incontestée sur l'Occident.
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La céramique continue sa floraison en Italie : Pesaro et Urbino sont à la tête du mouvement. Les Médicis tentent les premiers essais de fabrication d'une porcelaine européenne.En Allemagne et en France, la céramique cite les Hirschvogel et Bernard Palissy. Les rustiques figulines de ce dernier, ses corbeilles à jour, ses plats à reptiles sont baignés et comme imprégnés d'un émail gras et riche aux tons chauds marbrés et jaspés. Vers la fm du siècle, la faïence dite d'Oiron ou d'Henri II atteint à une élégance de forme et de décor que n'égale aucune autre céramique.
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Le saleron est toujours unique et pratiqué sur le haut de la salière. L'objet est en métal. La céramique à cette époque est plus fantaisiste : Urbino produit des salières à coquilles soutenues par quelque animal debout ou assis (Cluny, 2930, etc.). A la fin du xvii« siècle, la salière s'aplatit encore : elle est toujours à saleron unique. La face supérieure est circulaire ou polygonale. Au-dessous il y a un étranglement, puis la base s'élargit et rend le renversement bien plus difficile qu'avec les salières précédentes. La silhouette est celle d'un piédouche de buste.Page -965-
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URBINO. Un des plus importants centres de la céramique au xvi" siècle. Faisait partie du duché d'Urbin avec Pesaro et Castel-Durante. Les historiens italiens citent des pièces fabriquées antérieurement au xvp siècle. La protection et les encouragements accordés aux céramistes par Guidobaldo II délia Rovere, devsnu duc d'Urbin en 1538, contribuèrent au développement de ces fabriques célèbres. La fabrication se continua au delà du xvi<= siècle et elle produisait encore en 1620.Page -966-
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— Raeren. — Rimini. — Rouen. — Saintes. — Urbino. — Westerwald. — Ynca. — Talavera ("Arfd.).
- Faïance de TH. Deck
- https://archive.org/details/dictionnairedesa00roua/page/430/mode/2up?q=Urbino
- página 430
Niccolò Pellipario, às vezes confundido com Nicola di Gabriele Sbraghe , nasceu Urbania (que até 1636 se chamava Casteldurante) onde, com seu irmão Simone, havia praticado a arte do curtidor e havia sido comerciante de couro (daí o apelido Pellipario ou del Pellicciaio ), como Franco Negroni apontou. [1] Seu sobrenome verdadeiro era Schippe e seu pai se chamava Battista; ele se casou com Vittoria Costanzi de Fossombrone.
Mudou-se para Urbino e, graças à fama das suas decorações em cerâmica, ficou conhecido como
Seu prato com o Martírio de Santa Cecília , datado de 1528, agora no Museu Nacional Bargello , em Florença, apresenta pela primeira vez a tonalidade amarela, que se tornará típica da cerâmica urbino . Nos Museus Cívicos de Pesaro há uma taça com San Giuda Taddeo . Em Siena, na coleção do Palazzo Chigi-Saracini , há um prato seu com Adão e Eva e uma de suas xícaras, com a imagem de Laocoonte , está no Museo del Castello Sforzesco, em Milão.Trabalhos [ editar | editar wikitexto ]
De seu serviço de jantar para bombas , projetado para famílias Ridolfi-Medici em 1525, restam dezenove peças, das quais dezessete estão no Museu Correr de Veneza e as outras duas, uma em Oxford e outra em Berlim. Do serviço de placas de Isabella d'Este-Gonzaga, feito por volta de 1519, vinte peças podem ser encontradas no Victoria and Albert Museum , em Londres, e outras no Louvre, em Bolonha (a placa com o mito de Adônis e Mirra e com o Este-Gonzaga), o Metropolitan Museum e Cambridge. O serviço foi encomendado por Eleonora Gonzaga Della Rovere , Duquesa de Urbino, como um presente para sua mãeIsabella d'Este , marquesa de Mântua. Os brasões são de Isabella e de seu marido Francesco II Gonzaga . No MET há também a tábua de corte com Leão X apresentando ao Marquês Gonzaga o bastão de comando como capitão-geral da Igreja , de 1521, e um prato com procissão báquicaServiços de bomba [ editar | editar wikitexto ]- Mestre indiscutível do belo estilo ou estilo historiador - que superou o anterior, mais simples e caracterizado apenas por motivos decorativos - Niccolò Pellipario pintou sua cerâmica com temas inspirados em personagens da mitologia , histórias da Bíblia e às vezes até episódios contemporâneos. Seus modelos eram gravuras de Marcantonio Raimondi. Ele tinha um forte senso paisagístico, conhecia as regras da perspectiva arquitetônica e aperfeiçoou as técnicas de cor. Em sua paleta predominavam verdes claros e azuis, mas também havia tons quentes, como amarelo e laranja, às vezes iluminados por lustres metálicos. Além dos pratos, criou xícaras com retratos femininos: é a chamada série do belo . Francesco Xanto Avelli di Rovigo foi treinado em sua oficina .
Resultados da pesquisa
RESULTADOS DA WEB
termo "majólica" provavelmente deriva da corrupção de Maiorca, o local de origem da majólica hispano-mourisca na Idade Média. A partir do século X, o mundo islâmico experimentou um florescimento extraordinário da arte cerâmica: no Egito e na Síria, as cerâmicas eram produzidas revestidas com uma tinta branca muito opaca, inventada por oleiros do Oriente Médio em imitação da preciosa porcelana chinesa. Com a intensificação do tráfego comercial em todo o Mediterrâneo, chegaram à Itália louças exóticas revestidas e pintadas que - além de servirem para as mesas mais ricas - muitas vezes eram inseridas nas paredes das igrejas como decoração.
A partir do século XIII a produção de majólica deixou as fronteiras islâmicas e suas áreas de influência como a Sicília e a Espanha para chegar à Itália, lugar onde nasceram excelentes centros de produção: Deruta, Cafaggiolo, Casteldurante, Urbino, Castelli, Siena e Faenza. Nesta última cidade a produção de majólica desenvolveu-se de forma particular, tanto que o nome Faenza passou a ser sinónimo de um produto cerâmico de qualidade superior. O valor da faenza faenza - produto que conheceu o seu máximo esplendor entre os séculos XVI e XVIII - é dado pela qualidade dos materiais utilizados: os objetos são modelados com uma argila fina adequada para espessuras muito finas, passíveis de serem trabalhados em papelão ondulado. , moldes responsáveis pela forma característica da "crespina" refinada.
A mais preciosa baixela Faenza parece estar coberta por uma camada de esmalte com alto teor de estanho (um material muito caro na época), muitas vezes branca, o que realça suas formas e se presta tanto a decorações simples no centro quanto nas bordas , e à representação de cenas historiadas.
Como em todas as artes aplicadas, mesmo na majólica, o estilo da decoração pintada mudou ao longo dos séculos: isso permitiu aos estudiosos dividir a produção de artefatos de cerâmica pintada em várias famílias. O século XV é caracterizado pelo chamado "estilo severo", caracterizado por uma expressão decorativa alheia à representação naturalista dos temas: os motivos ornamentais - estilizados - são retirados da flora, da heráldica, da figura humana e da geometria. Os objetos deste estilo foram divididos em categorias: a “família verde”, dominada por vegetais verdes e castanhos e decorações heráldicas; o “açafrão em relevo”, onde a decoração é feita com pinceladas densas em relevo azul cobalto; a "família floral gótica", dos motivos ornamentais às flores e folhas inspiradas nos detalhes decorativos da arquitetura; a “família ítalo-mourisca”, onde além do verde cobre e do marrom manganês, são adicionados o amarelo e o azul e, por fim, a “palmeta persa”, estilo que remete à majólica do Oriente Médio.